Zoé Lou Shakespeare
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Zoé Lou Shakespeare
de Maxime C-Rieys.
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Zoé Lou SHAKESPEARE |
Physique & Caractère |
Elle ne s'éternise jamais sur son vécu, ou sur ses sentiments. On l'aime, certain l'admire, pourtant lorsque l'on croit la connaitre vraiment, elle nous file entre les doigts. C'est un véritable mystère, car la jolie blonde ne dévoile qu'une infime partie d'elle-même au monde extérieur. On ne voit donc d'elle, que ce qu'elle accepte de nous montrer. Mais malgré ses nombreux défauts, et ses secrets bien gardé, c'est une personne plus que généreuse et pleine de talents multiples.
L'histoire |
Chaque individu -quel qu'il soit- porte en lui le secret de son existence composée de bonheur comme de malheur. On ne se dévoile jamais entièrement au monde qui nous entoure. Le sens du mot "vérité" change du tout au tout selon le message que veut faire passer le locuteur à son destinataire. On comte une histoire, on oublie des éléments, on ne se souvient pas, on ne raconte qu'une partie de la vérité, on cache des choses, on ment... Pour chaque personne, il y a une part du passé qu'il faudrait effacer ou encore supprimer de sa mémoire. Pourtant, ces instants sont bels et bien là, ils ont existé, et reste même au présent à jamais pour certain. On ne peut donc rétablir totalement le puzzle d'une existence, même si on croit bien le/la connaitre. Heureusement, la consolation à se constat est que l'on peut en apprendre beaucoup de chacun par la parole. Malgré ce que l'on peut penser du mot "vérité", il y a des moments qui nous marques, à tel point que l'on ne peut les cacher. Puis il y en a d'autres qui sont gravés dans les souvenirs de nos proches. Voici donc pourquoi je ne peux vous comter qu'un infime morceau de la vie de cette Damoiselle.
Lorsque Zoé Lou Shakespeare ouvrit ses émeraudes, elle fit le plus grand bonheur d'un petit garçon de deux ans. Ce jour là, il se sentit invincible. Il était devenu grand, car désormais, il avait une tâche que seul lui pouvait accomplir : être un bon grand frère. Des étoiles dans les yeux, il promit à ses parents de toujours veiller sur ce bébé, de le protéger autant qu'il le pourrait, et de lui apprendre "la vie d'un enfant" comme il disait. C'est ainsi que commença une solide relation fraternelle entre lui et sa petite sœur.
Malheureusement pour ce petit garçon bien enthousiaste, sa promesse fut plus difficile à tenir que prévu. En théorie, rien n'aurait dû lui compliquer la tâche, seulement, la fortune de ses parents en avait décidé autrement. Alors qu'il comptait sur son père et sa mère pour lui enseigner les ficelles du mot "responsabilité", il dût se débrouiller tout seul. Les réunions du personnel et les voyages d'affaires primaire avant lui. De plus, il s'averra que sa cadette était moins "contrôlable" qu'il le pensait. Curieuse, maligne, intelligente et silencieuse, elle échappa à la surveillance de son frère à multiples reprise. Souvent désemparé devant la disparition de sa blonde, le jeune garçon appelait ses grands-parents à la rescousse -faute de pouvoir joindre ses parents-.
C'est alors que le temps s'écoula, que les minutes passèrent et que les secondes fuirent. Les enfants grandirent, devinrent adolescents puis indépendants. Comme dans beaucoup de famille polulaires et riches, les parents et les enfants vivent dans de monde bien distincts. Grâce à ce défaut des familles de haut rang, Zoé et son grand frère furent très vie liés comme les deux doigts de la mains. C'est vrai, pourquoi s'entêter à parler aux parents lorsque l'on peut se confier à son frère ou à sa soeur ? D'autant plus que c'était bien moins risqué. Ils vécurent comme cela durant pas de temps. Jusqu'à ce que la jolie blonde soit majeure, plus exactement. Après cela, ce ne fut plus pareil.
Tout d'abord, le seul parent de Monsieur mourut d'une attaque à l'âge de 86 ans. Il légat à son fils toute sa fortune et toute ses entreprises. La famille de Zoé dut donc déménager à New York, là où était le siège principal des nouvelles sociétés de son père. Ayant grandit à Paris, et bien que parlant l'anglais couramment, se fut un sacré changement pour la jeune fille. Mais en plus de cela, son grand frère resta en France pour faire son service militaire. « Peut importe les kilomètres qui nous séparent. Tu sera toujours ma petite sœur chérie, et je t'aimerai toujours à la folie. » Zoé se retrouva donc seule au milieu de cette ville inconnu. Elle se sentit abandonné, délaissé et trahis, bien que sa force de caractère la poussa à continuer. Elle s'inscrit alors à la prestigieuse université de New York pour y étudier la photographie & le volley.
Au jour d'aujourd'hui, la famille Shakespeare est sans doute l'une des familles les plus respectées de New York. Au yeux du monde, elle semble parfaite. Elle est renommée, recommandée, soutenue, ambitieuse et efficace. Pourtant, derrière les apparences, elle porte un lourd secret de la souffrance, dont chacun des membres détient une partie que l'autre ignore. C'est bien pour cela que notre héroïne s'en ait allé faire sa vie de son côté il y a de cela trois ans déjà ; pour fuir se renommé, et en appendre plus sur l'individu en tant que tel, sur ses sentiments, ses passions, ses folies ainsi que sur ses pleures. Fascinée depuis toute petite par l'âme humaine, Zoé trouva le monde des new-yorkais très, divertissant. Mais une renommée ne s'efface pas en un claquement de doigts. Il faut faire attention à ce que l'on dit et à qui on le dit, car chaque mot qui sort de sa bouche pèse le poids d'une conséquence bonne ou mauvaise.
« Un ami, deux amis, dix amis... peu importe tant que c'est pour la vie. Mais il se pourrait bien, que finalement, les amis se comptent sur les doigts d'une seule main ! »
Lorsque Zoé Lou Shakespeare ouvrit ses émeraudes, elle fit le plus grand bonheur d'un petit garçon de deux ans. Ce jour là, il se sentit invincible. Il était devenu grand, car désormais, il avait une tâche que seul lui pouvait accomplir : être un bon grand frère. Des étoiles dans les yeux, il promit à ses parents de toujours veiller sur ce bébé, de le protéger autant qu'il le pourrait, et de lui apprendre "la vie d'un enfant" comme il disait. C'est ainsi que commença une solide relation fraternelle entre lui et sa petite sœur.
Malheureusement pour ce petit garçon bien enthousiaste, sa promesse fut plus difficile à tenir que prévu. En théorie, rien n'aurait dû lui compliquer la tâche, seulement, la fortune de ses parents en avait décidé autrement. Alors qu'il comptait sur son père et sa mère pour lui enseigner les ficelles du mot "responsabilité", il dût se débrouiller tout seul. Les réunions du personnel et les voyages d'affaires primaire avant lui. De plus, il s'averra que sa cadette était moins "contrôlable" qu'il le pensait. Curieuse, maligne, intelligente et silencieuse, elle échappa à la surveillance de son frère à multiples reprise. Souvent désemparé devant la disparition de sa blonde, le jeune garçon appelait ses grands-parents à la rescousse -faute de pouvoir joindre ses parents-.
C'est alors que le temps s'écoula, que les minutes passèrent et que les secondes fuirent. Les enfants grandirent, devinrent adolescents puis indépendants. Comme dans beaucoup de famille polulaires et riches, les parents et les enfants vivent dans de monde bien distincts. Grâce à ce défaut des familles de haut rang, Zoé et son grand frère furent très vie liés comme les deux doigts de la mains. C'est vrai, pourquoi s'entêter à parler aux parents lorsque l'on peut se confier à son frère ou à sa soeur ? D'autant plus que c'était bien moins risqué. Ils vécurent comme cela durant pas de temps. Jusqu'à ce que la jolie blonde soit majeure, plus exactement. Après cela, ce ne fut plus pareil.
Tout d'abord, le seul parent de Monsieur mourut d'une attaque à l'âge de 86 ans. Il légat à son fils toute sa fortune et toute ses entreprises. La famille de Zoé dut donc déménager à New York, là où était le siège principal des nouvelles sociétés de son père. Ayant grandit à Paris, et bien que parlant l'anglais couramment, se fut un sacré changement pour la jeune fille. Mais en plus de cela, son grand frère resta en France pour faire son service militaire. « Peut importe les kilomètres qui nous séparent. Tu sera toujours ma petite sœur chérie, et je t'aimerai toujours à la folie. » Zoé se retrouva donc seule au milieu de cette ville inconnu. Elle se sentit abandonné, délaissé et trahis, bien que sa force de caractère la poussa à continuer. Elle s'inscrit alors à la prestigieuse université de New York pour y étudier la photographie & le volley.
Au jour d'aujourd'hui, la famille Shakespeare est sans doute l'une des familles les plus respectées de New York. Au yeux du monde, elle semble parfaite. Elle est renommée, recommandée, soutenue, ambitieuse et efficace. Pourtant, derrière les apparences, elle porte un lourd secret de la souffrance, dont chacun des membres détient une partie que l'autre ignore. C'est bien pour cela que notre héroïne s'en ait allé faire sa vie de son côté il y a de cela trois ans déjà ; pour fuir se renommé, et en appendre plus sur l'individu en tant que tel, sur ses sentiments, ses passions, ses folies ainsi que sur ses pleures. Fascinée depuis toute petite par l'âme humaine, Zoé trouva le monde des new-yorkais très, divertissant. Mais une renommée ne s'efface pas en un claquement de doigts. Il faut faire attention à ce que l'on dit et à qui on le dit, car chaque mot qui sort de sa bouche pèse le poids d'une conséquence bonne ou mauvaise.
« Un ami, deux amis, dix amis... peu importe tant que c'est pour la vie. Mais il se pourrait bien, que finalement, les amis se comptent sur les doigts d'une seule main ! »
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Re: Zoé Lou Shakespeare
Zoé Lou SHAKESPEARE
feat Ashley Olsen
feat Ashley Olsen
Papiers d'identité
a toujours porter sur sois !
◊ Douce, attentionnée, agréable, pleine de vie,
de joie et de bonne humeur,
la jeune femme est vive et accueillante.
◊ Lorsque ses grands yeux verts se posent sur votre personne,
ils vous transpercent l'âme.
◊ Elle est quelque peu possessive,
d'une très grande fièrté et surtout,
d'une curiosité déplacée,
ce qui est une qualité recommendé pour son métier futur.
◊ Malgré ses nombreux défauts,
et ses secrets bien gardé,
c'est une personne plus que
généreuse et pleine de bonnes volontés.
◊ Vous serez séduit par son parfum si délicat, et sa voix si charmeuse.
◊Mais alors que vous vous imaginerez dans un rêve,
vous vous apercevrez à vos dépends que cette créature est belle et bien réelle
et que l'apparence est trop souvent trompeuse.
Maintenant à toi de jouer !
Mais attention, comme le dit André Malraux : Le difficile n'est pas d'être avec ses amis quand ils ont raison, mais quand ils ont tort.
Dernière édition par Admin le Ven 4 Nov - 19:02, édité 1 fois
Re: Zoé Lou Shakespeare
.My Lover.
" Deux choses ne se peuvent cacher : l'ivresse et l'amour. "
Antiphane
" Deux choses ne se peuvent cacher : l'ivresse et l'amour. "
Antiphane
Bla Bla Bla
.My Special Links.
" Il y a toi, moi, et ce qui nous lie. "
Z. L. Shakespeare
" Il y a toi, moi, et ce qui nous lie. "
Z. L. Shakespeare
Isabella A. Deschanels
- Spoiler:
- Protégée
Tu n'es ni mon amie, ni mon ennemie, et encore moins une simple connaissance. Toi, tu es mon petit démon qui a le coeur brisé. J'ai été comme toi à une époque, et je me suis brûlée les ailes, alors j'aimerai te faire comprendre les choses et donner un sens à ta vie. Mais têtue et déterminée comme tu es, ce n'est pas facile... Je n'ai aucun droit sur toi, je n'ai pas mon mot à dire normalement, et bon nombre de personne me le rabache assez souvent. Mais je ne te laisserai pas ma chérie, car je ne connais que trop bien la sensation qu'on a lorsque l'on perd ses repères, et que l'on a personne à qui se raccrocher. Tu as un caractère difficile, tu as tes humeurs, et moi j'ai ma vie, mes amis, et mes défauts. Apriori, on est pas vraiment faites pour s'entendre, et pourtant, je tiens énormément à toi, comme une petite soeur, peut-être même plus... Car il y a ces moments de complicité, des moments où, tout est simple, tout est clair. Nous rions, nous parlons, et tu arrives même à me faire faire du shopping de temps en temps ! Et tu sais que ma porte pour toi, sera toujours ouverte.
Tony Shain
- Spoiler:
- Ambigüe
J'ai fait ta connaissance grâce au bouche à oreille. Tu cherchais une photographe pour ta nouvelle activité, le mannequinat, et je cherchais un petit boulot qui me ferait travailler ma passion. Tu es une personne calme et charmante, cela aurait dû bien se passer normalement, et pourtant... Alors que je devrais te considérer comme n'importe lequels de mes clients, il y a un petit truc chez toi qui fait que la situation est devenue un peu plus complexe. Tout d'abord, tu es très attirant, -un peu trop d'ailleurs- et lorsque nous sommes ensemble, mon estomac fait un noeud, ma gorge se sèche, tandis que mon coeur s'emballe. Tu n'es peut être pas plus agréable qu'un autre homme, mais quand je suis avec toi, j'ai l'impression d'être la seule personne que tu vois dans la pièce. Au début, ce regard intense me mettait mal à l'aise, et puis au faire et à mersure de nos séances, j'ai commencé à aimer les délicieux compliments que tu me faisais, les sourires si radieux que tu m'envoyais au travers de l'objectif, et ta façon de te comporter avec moi... Mais bien que nos attitudes en disent longs, tu es en couple avec une femme que tu aimes, qui a confiance en toi et à qui tu es dévoué et fidèle. Et en ce qui me concerne, je refuse tout sentiments que je peux éprouver à l'égard d'un homme, car ce qui devient amour, devient souffrances et pleures.
Alex L. Cooper
- Spoiler:
- Voisin de casier
Tu es tout ce que je n'aime pas. Arrogant, narcissique, coureur de jupons, égoiste, malicieux et riche. Malheureusement pour toi, nos casier sont côtes à côtes, ce qui signifie que je suis entrée dans ta vie à ton insu. Au début, on ne se parlait pas, puis vint ce jour où je t'ai entendu parler au téléphone. Tu avais l'air désemparé, complètement affolé, car quelque chose se passait mais tu n'en avais aucun contôle. Bien évidemment tu étais perdu, car toi, le grand Alex adulé par toutes les jolies petites minettes, avait toujours eu la situation en main. Mais ce matin là, tu me paru d'un coup, beaucoup plus vulnérable. J'entrevis en toi un coeur, bien caché certes, mais tu en avais un ! Qu'avait-il bien pu t'arriver pour que tu sois devenu aussi con ? Doté d'une curiosité déplacée, je décidai de trouver des réponses à mes questions. Bien sûr, tu m'envois toujours balader, et me prend pour une moins que rien. Très souvent je te renvois l'appareil, en te prouvant par A + B que tu n'es qu'un crétin finit, mais en même temps, je ne connais que trop bien la solitude qui te dévore. C'est pourquoi, malgré nos désaccords et nos saloperies échangées, j'ai décidé de te prouver que dans ce monde incertain, tu étais tombé sur une personne digne de confiance, et présente pour toi quoi qu'il puisse arriver. Certes, tu ne le sais pas tout ça, et dès que tu peux me dire une méchanceté, tu ne te gêne absolument pas.
Pourtant, plus le temps passe, plus je m'aperçois que lorsque je ne te parle pas, c'est toi qui viens me voir. Alors, est-ce que derrière tout ça, tu as quand même intercepté mon message de secours ?
Anna Selleck
- Spoiler:
- Coup de coeur
Ma petite chérie... Bien que nos débuts aient été quelque peu laborieux, aujourd'hui tu me fais fondre. Je suis encore un peu maladroite mais, j'aurai aimé être ta véritable grande soeur. Tu es une sacrée fillette, car avec ce que tu as vécu, beaucoup se serait totalement renfermé sur eux-même, ou serait devenu incontrôlable et même violent. Tandis que toi mon petit ange, tu as gardé un fort caractère et tu t'ais épanouie un peu plus chaque jour. Tu es très intelligente, malicieuse et adorable. Alors que la vie ne t'as pas gâtée et t'as rendu réservée et méfiante, j'ai tout de même réussit à gagner ta confiance. Je conçois très bien la chance que tu m'as donné, et j'espère ne jamais te décevoir J'aimerai m'occuper de toi encore longtemps, pouvoir te voir grandir, sourire et devenir une vraie femme. Et bien que je ne sois pas ta maman, je t'avoue que si je n'étais pas si jeune, je t'aurai adopté de suite ! Mais maintenant que tu as retrouvé ton père et que tu vas partir de l'orphelinat, et je doute que tu ais encore besoin de moi. Alors j'espère juste que je pourrai garder le contact, et que notre lien ne sera pas rompu par ce nouveau bonheur que tu mérites tant...
Innocence J. Maness
- Spoiler:
- Amie perdue
Nous nous étions rencontrées dans un bar. Tu m'avais accosté avec un grand sourire, et un verre de cocktail à la main. Au début, j'avais trouvé ça louche, donc tu avais eu beaucoup de mal à me faire aligner plus de deux ou trois mots. Mais au final, nous nous étions très bien entendues, nous avions ries, nous nous étions trouvés quelques points communs même, et surtout, nous avions échangé nos numéros. Au fil des rencontres, nous devenions de plus en plus proches, si bien que nous avions finit par être de très bonnes amies. Je t'adorai tu sais... Et même si je ne me confiais pas souvent à toi, j'aimais beaucoup l'entente qui nous unissait. Sauf quand tu m'avouas tu étais journaliste. Car c'est à ce moment précis que toute notre rencontre prit un sens. Tu voulais faire un article sur les Shakespeare, et tu m'avais accosté ce jour, seulement pour connaître mes secrets de famille ! Comment avais-tu pu jouer le jeu si longtemps ?! Moi qui avais finit par t'accorder ma confiance, tu m'avais brutalement avoué que tu n'étais qu'une espionne pour un journal quelconque. Et que par conséquent, notre amitié construite jusque là n'avait certainement aucune valeur à tes yeux. Le cœur brisé, j'ai rompu tout contact avec toi, car bien que je ne puisse te détester, je ne peux pas non plus te pardonner tes mensonges.
.My Best Friends.
" Un ami, c'est quelqu'un qui sait tout de toi, et qui t'aime quand même."
F.W. Hubbard
" Un ami, c'est quelqu'un qui sait tout de toi, et qui t'aime quand même."
F.W. Hubbard
Eduardo R. Da Silva
- Spoiler:
Confident
Mon petit nounours !! Ce que tu peux être naif et sentimental des fois... Je t'avoue qu'au début, j'aimais beaucoup joué de ta simplicité et de ta gentillesse, car je prenais cela pour de la faiblesse et d'une débilité profonde. Je n'y ai pas été avec le dos de la cuillère avec toi mon pauvre. Pourtant, tu n'as jamais cessé d'être agréable et poli, tout en me disant mes quatres vérités en face à chaque fois. Jamais tu ne m'as rabaissée devant les autres, jamais tu ne t'ais moqué de moi, jamais tu ne t'ais même vangé. J'ai toujours pû comter sur ta présence lorsque j'en avais besoin, et même si je ne le méritais pas forcément. Pour me faire pardonner, je joue une peu le rôle de grande soeur avec toi désormais, car tu as encore du mal à te faire à la cruauté de ce monde et tu te fais avoir à tous les coups. Mais nos longs fous rires tard dans la nuits, nos discussions anodines au téléphone, nos petits secrets avoué l'un à l'autre, et notre entente parfaite constituent une des rares amitié que j'ai pu construire depuis mon arrivée à New York il y a quatre ans !
Clélia M. Brookens
- Spoiler:
- Soeur de coeur
- Je t'aime ! - Moi non plus ! Lors de notre première séance photo ensemble, le courant fut quelque peu électrique. J'étais une artiste dans l'âme, rêveuse et réservée, tandis que toi, tu étais une mannequin souriante mais capricieuse. Nous n'étions vraiment pas faites pour nous entendre... Et pourtant, tu as préféré mes photos plutôt que celles d'un autre! Ce qui nous a valu un deuxième rencard, et c'est là que l'on s'est aperçu combien nous étions semblables. On voyait les choses de la même façon, on avait les même expressions, les même envies, comme si nos cerveaux étaient connectés !! Bien sûr, tu n'apprécias guère ma façon assez sec de dire les choses, et moi, j'eu énormément de mal avec tes petites manières de "fille parfaite". Mais au faire et à mesure que l'on se cotoyait professionnelement, nous nous rendîmes comte, que l'on se confiait à l'une et à l'autre en toutes aises lors de nos séances photo -bien plus facilement qu'avec nos proches-... Il nait alors de nos rires, de nos vacheries et de nos confidences une amitié un peu spéciale. Ce que l'on aime avant tout, c'est faire croire au monde que l'on est les meilleures ennemies, pour ensuite rembarrer de manière singlante ceux qui osent maintenir que l'on se haie. Car dernière toute cette façade, je t'adore, et je peux affirmer au monde entier que tu es l'une des amies que je peux comter sur les doigts de ma main.
Poppy V. Hatwood
- Spoiler:
- Colocataire & namoureuse
Ma Poppy... Colocataire, amie, et coeur fondant. Tu es une fille remarquable. Gentille et serviable, tu parais parfaite. Et c'est vrai que je n'ai jamais eu grand chose à te repprocher. On s'est tout suite apréciée toutes les deux, seulement, ce ne fut pas de la même façon. Tu as eu une faible pour moi car tu me trouve attirante, mais moi, je ne te voyais que comme une copine et rien d'autre. Je te l'avoue, le jour où tu m'as affirmé tes sentiments, j'étais assez mal à l'aise de les refuser, bien que j'ai été très clair. J'avais peur que cela change quelque chose, mais au contraire, on ne cesse de se taquiner la-dessus désormais. C'est notre petite folie à nous, bien que j'ai un peu de mal à dicerner le vrai du faux des fois, ça ne me gêne pas. Tu es avant tout une personne avec qui je m'entend merveilleusement bien, avec qui je ris beaucoup, et surtout, une personne que j'adore écouter parler de garçons et de sentiments. Bref, tu es ma colocataire en or & ma super namoureuse !
Bla Bla Bla
Re: Zoé Lou Shakespeare
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" Deux choses ne se peuvent cacher : l'ivresse et l'amour. "
Antiphane
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Bla Bla Bla
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" Il y a toi, moi, et ce qui nous lie. "
Z. L. Shakespeare
" Il y a toi, moi, et ce qui nous lie. "
Z. L. Shakespeare
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Tu n'es ni mon amie, ni mon ennemie, et encore moins une simple connaissance. Toi, tu es mon petit démon qui a le coeur brisé. J'ai été comme toi à une époque, et je me suis brûlée les ailes, alors j'aimerai te faire comprendre les choses et donner un sens à ta vie. Mais têtue et déterminée comme tu es, ce n'est pas facile... Je n'ai aucun droit sur toi, je n'ai pas mon mot à dire normalement, et bon nombre de personne me le rabache assez souvent. Mais je ne te laisserai pas ma chérie, car je ne connais que trop bien la sensation qu'on a lorsque l'on perd ses repères, et que l'on a personne à qui se raccrocher. Tu as un caractère difficile, tu as tes humeurs, et moi j'ai ma vie, mes amis, et mes défauts. Apriori, on est pas vraiment faites pour s'entendre, et pourtant, je tiens énormément à toi, comme une petite soeur, peut-être même plus... Car il y a ces moments de complicité, des moments où, tout est simple, tout est clair. Nous rions, nous parlons, et tu arrives même à me faire faire du shopping de temps en temps ! Et tu sais que ma porte pour toi, sera toujours ouverte.
Tony Shain
- Spoiler:
- Ambigüe
J'ai fait ta connaissance grâce au bouche à oreille. Tu cherchais une photographe pour ta nouvelle activité, le mannequinat, et je cherchais un petit boulot qui me ferait travailler ma passion. Tu es une personne calme et charmante, cela aurait dû bien se passer normalement, et pourtant... Alors que je devrais te considérer comme n'importe lequels de mes clients, il y a un petit truc chez toi qui fait que la situation est devenue un peu plus complexe. Tout d'abord, tu es très attirant, -un peu trop d'ailleurs- et lorsque nous sommes ensemble, mon estomac fait un noeud, ma gorge se sèche, tandis que mon coeur s'emballe. Tu n'es peut être pas plus agréable qu'un autre homme, mais quand je suis avec toi, j'ai l'impression d'être la seule personne que tu vois dans la pièce. Au début, ce regard intense me mettait mal à l'aise, et puis au faire et à mersure de nos séances, j'ai commencé à aimer les délicieux compliments que tu me faisais, les sourires si radieux que tu m'envoyais au travers de l'objectif, et ta façon de te comporter avec moi... Mais bien que nos attitudes en disent longs, tu es en couple avec une femme que tu aimes, qui a confiance en toi et à qui tu es dévoué et fidèle. Et en ce qui me concerne, je refuse tout sentiments que je peux éprouver à l'égard d'un homme, car ce qui devient amour, devient souffrances et pleures.
Alex L. Cooper
- Spoiler:
- Voisin de casier
Tu es tout ce que je n'aime pas. Arrogant, narcissique, coureur de jupons, égoiste, malicieux et riche. Malheureusement pour toi, nos casier sont côtes à côtes, ce qui signifie que je suis entrée dans ta vie à ton insu. Au début, on ne se parlait pas, puis vint ce jour où je t'ai entendu parler au téléphone. Tu avais l'air désemparé, complètement affolé, car quelque chose se passait mais tu n'en avais aucun contôle. Bien évidemment tu étais perdu, car toi, le grand Alex adulé par toutes les jolies petites minettes, avait toujours eu la situation en main. Mais ce matin là, tu me paru d'un coup, beaucoup plus vulnérable. J'entrevis en toi un coeur, bien caché certes, mais tu en avais un ! Qu'avait-il bien pu t'arriver pour que tu sois devenu aussi con ? Doté d'une curiosité déplacée, je décidai de trouver des réponses à mes questions. Bien sûr, tu m'envois toujours balader, et me prend pour une moins que rien. Très souvent je te renvois l'appareil, en te prouvant par A + B que tu n'es qu'un crétin finit, mais en même temps, je ne connais que trop bien la solitude qui te dévore. C'est pourquoi, malgré nos désaccords et nos saloperies échangées, j'ai décidé de te prouver que dans ce monde incertain, tu étais tombé sur une personne digne de confiance, et présente pour toi quoi qu'il puisse arriver. Certes, tu ne le sais pas tout ça, et dès que tu peux me dire une méchanceté, tu ne te gêne absolument pas.
Pourtant, plus le temps passe, plus je m'aperçois que lorsque je ne te parle pas, c'est toi qui viens me voir. Alors, est-ce que derrière tout ça, tu as quand même intercepté mon message de secours ?
Anna Selleck
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- Coup de coeur
Ma petite chérie... Bien que nos débuts aient été quelque peu laborieux, aujourd'hui tu me fais fondre. Je suis encore un peu maladroite mais, j'aurai aimé être ta véritable grande soeur. Tu es une sacrée fillette, car avec ce que tu as vécu, beaucoup se serait totalement renfermé sur eux-même, ou serait devenu incontrôlable et même violent. Tandis que toi mon petit ange, tu as gardé un fort caractère et tu t'ais épanouie un peu plus chaque jour. Tu es très intelligente, malicieuse et adorable. Alors que la vie ne t'as pas gâtée et t'as rendu réservée et méfiante, j'ai tout de même réussit à gagner ta confiance. Je conçois très bien la chance que tu m'as donné, et j'espère ne jamais te décevoir J'aimerai m'occuper de toi encore longtemps, pouvoir te voir grandir, sourire et devenir une vraie femme. Et bien que je ne sois pas ta maman, je t'avoue que si je n'étais pas si jeune, je t'aurai adopté de suite ! Mais maintenant que tu as retrouvé ton père et que tu vas partir de l'orphelinat, et je doute que tu ais encore besoin de moi. Alors j'espère juste que je pourrai garder le contact, et que notre lien ne sera pas rompu par ce nouveau bonheur que tu mérites tant...
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Nous nous étions rencontrées dans un bar. Tu m'avais accosté avec un grand sourire, et un verre de cocktail à la main. Au début, j'avais trouvé ça louche, donc tu avais eu beaucoup de mal à me faire aligner plus de deux ou trois mots. Mais au final, nous nous étions très bien entendues, nous avions ries, nous nous étions trouvés quelques points communs même, et surtout, nous avions échangé nos numéros. Au fil des rencontres, nous devenions de plus en plus proches, si bien que nous avions finit par être de très bonnes amies. Je t'adorai tu sais... Et même si je ne me confiais pas souvent à toi, j'aimais beaucoup l'entente qui nous unissait. Sauf quand tu m'avouas tu étais journaliste. Car c'est à ce moment précis que toute notre rencontre prit un sens. Tu voulais faire un article sur les Shakespeare, et tu m'avais accosté ce jour, seulement pour connaître mes secrets de famille ! Comment avais-tu pu jouer le jeu si longtemps ?! Moi qui avais finit par t'accorder ma confiance, tu m'avais brutalement avoué que tu n'étais qu'une espionne pour un journal quelconque. Et que par conséquent, notre amitié construite jusque là n'avait certainement aucune valeur à tes yeux. Le cœur brisé, j'ai rompu tout contact avec toi, car bien que je ne puisse te détester, je ne peux pas non plus te pardonner tes mensonges.
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- Spoiler:
- Soeur de coeur
- Je t'aime ! - Moi non plus ! Lors de notre première séance photo ensemble, le courant fut quelque peu électrique. J'étais une artiste dans l'âme, rêveuse et réservée, tandis que toi, tu étais une mannequin souriante mais capricieuse. Nous n'étions vraiment pas faites pour nous entendre... Et pourtant, tu as préféré mes photos plutôt que celles d'un autre! Ce qui nous a valu un deuxième rencard, et c'est là que l'on s'est aperçu combien nous étions semblables. On voyait les choses de la même façon, on avait les même expressions, les même envies, comme si nos cerveaux étaient connectés !! Bien sûr, tu n'apprécias guère ma façon assez sec de dire les choses, et moi, j'eu énormément de mal avec tes petites manières de "fille parfaite". Mais au faire et à mesure que l'on se cotoyait professionnelement, nous nous rendîmes comte, que l'on se confiait à l'une et à l'autre en toutes aises lors de nos séances photo -bien plus facilement qu'avec nos proches-... Il nait alors de nos rires, de nos vacheries et de nos confidences une amitié un peu spéciale. Ce que l'on aime avant tout, c'est faire croire au monde que l'on est les meilleures ennemies, pour ensuite rembarrer de manière singlante ceux qui osent maintenir que l'on se haie. Car dernière toute cette façade, je t'adore, et je peux affirmer au monde entier que tu es l'une des amies que je peux comter sur les doigts de ma main.
Poppy V. Hatwood
- Spoiler:
- Colocataire & namoureuse
Ma Poppy... Colocataire, amie, et coeur fondant. Tu es une fille remarquable. Gentille et serviable, tu parais parfaite. Et c'est vrai que je n'ai jamais eu grand chose à te repprocher. On s'est tout suite apréciée toutes les deux, seulement, ce ne fut pas de la même façon. Tu as eu une faible pour moi car tu me trouve attirante, mais moi, je ne te voyais que comme une copine et rien d'autre. Je te l'avoue, le jour où tu m'as affirmé tes sentiments, j'étais assez mal à l'aise de les refuser, bien que j'ai été très clair. J'avais peur que cela change quelque chose, mais au contraire, on ne cesse de se taquiner la-dessus désormais. C'est notre petite folie à nous, bien que j'ai un peu de mal à dicerner le vrai du faux des fois, ça ne me gêne pas. Tu es avant tout une personne avec qui je m'entend merveilleusement bien, avec qui je ris beaucoup, et surtout, une personne que j'adore écouter parler de garçons et de sentiments. Bref, tu es ma colocataire en or & ma super namoureuse !
Bla Bla Bla
Re: Zoé Lou Shakespeare
.My Friends.
" La terre nous fait attendre ses présents à chaque saison, mais on recueille à chaque instant les fruits de l'amitié. "
Démophile
" La terre nous fait attendre ses présents à chaque saison, mais on recueille à chaque instant les fruits de l'amitié. "
Démophile
Burberry V. Da Vindicci
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- Grande soeur
Un jour, l'Europe décida de nous réunir dans un aéroport, comme pour nous souffler à l'oreille que même à l'autre bout du monde Elle pensait à nous. C'est vrai que débarquer à des milliers de kilomètres de son chez-soi, parler une langue étrangère tous les jours pour devoir se faire comprendre, et s'adapter aux mentalités de son pays d'acceuil n'est pas chose facile. C'est donc à l'aéroport que nous nous sommes croisées la première fois "Excusez-moi... Bonjour... Merci..." puis, le hasard fit que nos sièges furent côte à côte lors du voyage de notre retour vers le pays natal ! "Encore vous... Sans rire... Moi aussi..." J'allais voir une tante à Nice, et tu rentrais chez toi en Italie. Durant ce voyage, nous avons pas mal bavardé. Je ne suis qu'une jeune photographe, tandis que toi tu es déjà un femme, et pourtant nous arrivons à lire entre les lignes lorsque l'une ou l'autre parle. Et bien sûr, jamais deux sans trois ! Lorsque l'on se recroisa à New York, six mois plus tard, les dés furent jetés, on s'échangea notre numéro. Deux choses nous réunissaient : l'Europe et les secrets de notre passé. Alors que l'on ne se voyait pas si souvent que ça, on remarqua bien vite, par la suite, nos similitudes. Parler, parler, sourire, mais ne jamais ouvrir son coeur à quiconque...
Et bien c'est dans cet état d'esprit que j'aime me confier à toi.
Susan R. Howgards
- Spoiler:
- Copine d'Artifolia
Toi ma chérie, tu m'as appris à mélanger folie, travail et amitié. Tu m'as fait connaitre ta théorie des 3A : Art, Alcool, Amie. Théorie à laquelle j'adhère totalement ! Je t'ai connu à mon arrivée à l'université. Tu étais plus âgée que moi, mais nos disciplines nous ont rapproché et notre intérêt commun pour l'art nous a soudé. Lorsque tu étais encore en cours, nous travaillions ensemble, mais d'une façon telle, que rare ont été ceux qui se joingnèrent à nous. En effet, lorsque l'on cherche l'inspiration, on commence par parler phylosophie avec un verre de jins tonic, puis on enchaine sur de l'histoire avec du wisky ou une vodka, pour finir morte de rire, à minuit, avec trop de tequila dans le sang. Mais au moins, on a toujours rendu nos devoirs et jusqu'à ta dernière année, nous n'avons eu que des bonnes notes ! Mais en dehors de ça, tu es une personne que j'admire et avec qui je me sens particulièrement bien. Nous sommes dans le même monde, et le fait que tu sois plus expérimenté dans la vie, m'a souvent poussé à t'écouter. De plus, tu as toujours été là pour moi, tu me rassure comme tu me tape sur les doigts comme tu me fais rire... Que demander de plus chez une amie ? 3A pour la vie n'est-ce pas !
Hope A. Kylinson
- Spoiler:
- Ma blonde
Toutes deux filles de bonnes familles, c'est grâce à notre niveau social que nous nous sommes rencontrées. Alors qu'on ne se serait même pas remarqué lors de cette fameuse avant-première, nos parents quand à eux, se reconnurent. De vieilles rancoeurs familiale sont donc ressorties, sans même que l'on nous mettent au courant de se qui séparait nos deux familles. Nous avons alors eu la même idée, chercher pour trouver des réponses. Pourquoi nos parents se détestent-ils autant ? Surtout que le peu que nous nous sommes dit pendant l'évènement nous amenait plutôt vers une bonne entente toutes les deux. Mais nos ancêtres en auraient décidé autrement, et nous serions condamnées à se détester pour la vie... ? Malheureuselent pour eux, nous sommes deux têtes blondes bien arrogantes, qui ne se font d'opinions que par elles-même. C'est pour cela que lorsque nous nous sommes revues, un jour par hasard, dans les grandes rues de New York, nous avons immédiatement reprit le contact. Nous ne sommes pas si proches pour autant, mais ta companie m'est fort agréable. Nous rions, nous baladons et parlons en toute simplicité, sans pour autant être les meilleures amies du monde, et cela convient parfaitement à l'un comme à l'autre je pense. Par ailleurs, nos parents qui ne sont pas du même avis, tentent en vain de surveiller nos fréquentations, ce qui nous pousse à nous voir en "cachette". Mais pour tout avouer, ces petites sorties interdites ne sont que la poussée d'adhrénaline que nous adorons.
Bla Bla Bla
Bla Bla Bla
.Other.
" On examine avec soin les objets dans les boutiques, mais quand il s'agit des gens, on les juge sur l'apparence. "
Aristippe de Cyrène
" On examine avec soin les objets dans les boutiques, mais quand il s'agit des gens, on les juge sur l'apparence. "
Aristippe de Cyrène
Eddie J. Dunstand
- Spoiler:
- Ennemie
Je t'ai connu lors d'une des énièmes journées de shopping organisé par Clélia. Elle m'avait t'ant parlé de toi, de tes bons goûts, et de tes avances... C'est simple, tu me répugnes. On a su dès le premier regard que ça ne passerait pas entre nous. Nous sommes toutes deux possessives et manipulatrices, mais Clélia ne peut être séparée en deux ! Tu dis qu'elle ne devrait pas trainer avec moi car je suis trop franche, moi je crois que tu ne veux qu'une chose, la mettre dans ton lit. Et je l'avoue, tu es mignonne et convainquante. Mais sache qu'un non, c'est non, alors si soit disant tu aimes ma Clélia, respect son choix. Bien que nous soyons des plus habilent pour jouer sur les apparences avec notre Clélia, nous sommes comme chien et chat. Tu ne lâcheras pas l'affaire car tu apprécis aussi beaucoup ma jolie brune, mais moi je la protègerai toujours de tes coups foireux.
Heaven L. Tennessee
- Spoiler:
- Cliente & colocataire de Burberry
C'est grâce à mon amie Burberry que nous nous sommes rencontré toi et moi. Et surtout grâce à mon nom de famille. Il y a des gens quelques fois, comme toi, qui veulent me connaitre rien que parce-que je m'appelle Shakespeare. La plupart pense que je suis une descente directe du fameux écrivain anglais, ou que je suis incollable à son sujet. Et bien détrompez-vous. Je n'ai pas de sang shakespearien, et je m'y connais encore moins à ses oeuvres. Certes j'en ai étudié quelques une mais c'est tout, cela ne va pas plus loin. Toujours est-il que tu m'as sauté dessus lrosque que tu m'as vu pour la première fois, Ô grande fan du défint écrivain. Mais nous nous sommes très bien entendues toutes les deux ! De plus, il se trouvait que tu avais besoin d'une photographe pour lancer ta ligne de vêtement. Moi qui suis ouverte à tout, en ce qui concerne ma passion, j'ai tout de suite fait un "contract" avec toi. Nous espérons, grâce à cela, perser chez les plus grands. Toi avec ta ligne de vêtement, et moi avec mes photos. Bien que tu ne t'entende pas vraiment avec Burberry, (ou alors vous ne faites que vous lancez des vacheries mais vous vous adorez ?) tu es une personne que j'aprécie beaucoup. Et c'est vrai que je trouve vos disputes plutôt amusantes, mais quelque peu lourdes des fois...
Prince Mathïs Grönwall
- Spoiler:
- Connaissance
Monsieur le professeur d'histoire, notre rencontre fut tout à fait par hasard, et pourtant, nous gardons contact régulièrement. J'ai beaucoup de mal à vous faire confiance, du fait que vous soyez un homme. Et en même temps, je dois l'avouer, vous êtes une personne remarquable. Votre éducation et vos origines vous poussent à être différent, mais votre attitude un peu vieux jeu peut être fort plaisante. C'est ainsi que j'aime parler avec vous, de phylosophie, de politique, d'histoire -bien sûr- et de tant d'autres sujets. Vous vous êtes toujours montré respectueux et entier à mon égard, sans jamais cacher votre sang royal ou vos opinions. C'est d'ailleurs cela que j'aime chez vous. Mais en même temps, votre côté trop parfait me met mal à l'aise et me pousse à me méfier d'avantage. Car, vous êtes intelligent, charmant et bien plus âgé que moi et pourtant, vous me téléphonez souvent pour que l'on se rencontre, pourquoi ? Je me suis fait beaucoup d'idées à votre sujet alors qu'au final, je ne sais pas vraiment ce que vous attendez de moi, bien que vous m'assuriez que vous n'attendez rien en retour de votre écoute. Malgré mes doutes, et le fait qu'il semble que vous insistiez souvent pour que je vois le verre à moitié plein, le gentleman que vous êtes est d'une companie fort instructive et plus qu'interessante.
Devon C. Cohen
- Spoiler:
- Connaissance
Tu es aveugle, et alors ? Cela te permet-il de collectionner les filles et de te comporter avec aussi peu de sentiments ? J'ai beaucoup de mal à te comprendre, et lorsque Clélia m'a présenté à toi, je ne t'ai pas apprécié du tout. Ton côté détaché, un peu arrogant, agité et froid m'a de suite repoussé. D'ailleurs, tu l'as sentit et le contact n'est pas passé entre nous. Pourtant, Clélia m'a toujours dit beaucoup de bien sur toi, comme quoi tu étais attentionné avec elle, à son écoute, ainsi que digne de confiance etc... Mais j'avais du mal à y croire au début. Puis, nous nous sommes revus deux ou trois fois par la suite, toujours grâce à Clélia qui ne comprenait pas que ces deux amis qu'elle aimait tant, ne s'aiment pas à ce point. Alors elle a essayé de coller les morceaux tant bien que mal, car nous sommes assez têtus tous les deux. Mais plus je te voyais, plus je découvrai ton côté charmeur et agréable. Au fond, tu n'es pas bien méchant, c'est juste qu'à cause de ton handicape, tu n'as pas dû vivre des choses faciles, et donc tu t'es renfermé sur toi-même. Bien qu'un peu agaçant, tu restes tout de même une personne plus ou moins gentil. En tout cas, tu dégages une tendresse malgré tes propos, qui, je dois dire, m'empêche de te condamner. J'apprend donc doucement à connaitre ton personnage, et je commence à véritablement t'apprécier. Désormais, nous nous parlons un peu par téléphone, et puis tu m'as autorisé à te prendre en photo, me faisant confiance pour que je te mette en valeur. Et je dois dire que ces petites séances ne me déplaisent, car ce n'est pas tout les jours que l'on peut photographier quelqu'un qui ne peut en voir le résultat.
Tyler N. Dixon
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- Journaliste renommé
C'est grâce à votre profession que nous nous sommes rencontré. Je n'étais alors qu'une simple stagiaire, mais vous m'avez reconnu un certain talent, et mon caractère "bien trempé" comme vous dites, vous à taper dans l'oeil. Vous êtes une sorte de mentor pour moi. J'aime beaucoup ce que vous faites, et j'admire ainsi votre sens de la répartit. Pour le moment, nous n'avons eu que très peu de rencontres, mais j'espère que vous accepterez de m'enseigner un peu de votre savoir. Bien que je ne sois que photographe et non journaliste, je pense pouvoir en apprendre beaucoup de vous. Par ailleurs, vous êtes un personnage très interessant, et collaborer un jour avec vous m'ouvrira certainement des portes dans le monde professionnel. Il n'y a qu'une seule fois où je vous ai vu en dehors de votre bureau, et j'avoue que cela m'a surprise. Vous n'étiez plus du tout le même homme. Beaucoup plus décontracté, plaisantain et charmeur... Vous avez beaucoup de qualités, et j'espère un jour vous connaitre aussi bien en temps que journaliste digne de votre renommée, mais aussi en tant qu'être humain, et peut-être même en tant qu'ami, pourquoi pas ...? Mais en attendant, j'espère surtout que vous accepterez de me prendre sous votre aile.
Bla Bla Bla
Bla Bla Bla
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