Enième presentation ~
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Enième presentation ~
Gaëlle O'Connor a écrit:
© mimi_fudjita Age: Date de naissance: Année d'étude: Formation en cours: J'appartiens au groupe des BEAUTY QUEENS
UFR: UFR 1 UFR 2 UFR 3 UFR 4 UFR 5 UFR 6
UFR 7 UFR 8 UFR 9 UFR 10 UFR 11 AUCUN
" Mon âme a son secret, ma vie a son mystère. "
de M. C-Rieys
Signe(s) Particulier(s) Mise à part deux trous à l'oreille droite et trois trous à l'oreille gauche, la jolie blonde n'a pas de percings. Pour les tatouages, elle en a un seul fait à l'âge de seize ans. C'est une petite salamandre noir et bleu tatouée à l'intèrieur de son poignet gauche.Orientation Sexuelle Lorsqu'elle était plus jeune, la blondinette s'est parfois demandé ce que c'était de sortir avec fille. Si l'amour que l'on portait à une conjointe femme était le même que celui qui vous dévore pour un homme. Mais ce n'était que des questions de curiosité. Gaëlle est 100% hétéro, et bien qu'elle n'ai rien contre les bisexuels ou les homosexuels, elle revendique bien son avis sur la chose.
Prénom P. NOM
Physique & CaractèreApparence & Style: Lorsque ses grands yeux verts se posent sur votre personne, ils vous transpercent l'âme. Pourtant le regard qu'ils vous portent n'est doté que de curiosité et d'une pointe de douceur. Mais par reflexe, vous baisserez les yeux. C'est alors que vous remarquerez sa taille de guêpe, ses formes parfaites et son élégante silhouette. Le plus souvent, elle est habillée classe, ou avec des vêtements simples mais chics, car elle déteste être "mal sappée". Vous admirerez ensuite sa chevelure dorée délicatement posée sur ses épaules ; sa poitrine bien formée ; ses fines mains manucurées ; et ses jolies gambettes élancées. Cette jeune femme tout à fait charmante vous tapera dans l'oeil avec son allure de princesse et son visage aux traits fins. Vous serez séduit par son parfum si délicat, et sa voix si charmeuse. Mais alors que vous vous imaginerez dans un rêve, vous vous apercevrez à vos dépends que cette créature est belle et bien réelle et que l'apparence est trop souvent trompeuse.Caractère: Douce, attentionnée, agréable, pleine de vie, de joie et de bonne humeur, la jeune femme est vive et accueillante. Au premier abord, c'est quelqu'un de sociable, de travailleur et de sèrieux. Mais lorsqu'on la connait un peu mieux, on s'apperçoit vite que derrière sa grande maturité se cache un goût très prenoncé pour les folies, le désordre et l'éclat de rire. Elle est quelque peu possessive, d'une très grande fièrté et surtout, d'une curiosité intensive, ce qui est une qualité recommendé pour son métier futur. Mais cela lui vaut aussi pas mal de malus car elle fouine partout, et ne s'arrête pas lorsqu'il est préférable de laisser tomber. Avec cela, elle est peu bavarde, très attentive, et quelque peu maladroite. Elle aime les enfants, et est une grande passionnée de la faune et la flore.
Elle ne s'éternise jamais sur son vécu, ou sur ses sentiments. On l'aime, certain l'admire, pourtant lorsque l'on croit la connaitre vraiment, elle nous file entre les doigts. C'est un véritable mystère, car la jolie blonde ne dévoile qu'une infime partie d'elle-même au monde extèrieur. On ne voit donc d'elle, que ce qu'elle accepte de nous montrer. Mais malgré ses nombreux défauts, et ses secrets bien gardé, c'est une personne plus que généreuse et pleine de talents multiples.
L'histoireChaque individu -quel qu'il soit- porte en lui le secret de son existence composée de bonheur comme de malheur. On ne se dévoile jamais entièrement au monde qui nous entoure. Le sens du mot "vérité" change du tout au tout selon le message que veut faire passer le locuteur à son destinataire. On comte une histoire, on oublie des éléments, on ne se souvient pas, on ne raconte qu'une partie de la vérité, on cache des choses, on ment... Pour chaque personne, il y a une part du passé qu'il faudrait effacer ou encore supprimer de sa mémoire. Pourtant, ces instants sont bels et bien là, ils ont existé, et reste même au présent à jamais pour certain. On ne peut donc rétablir totalement le puzzle d'une existence, même si on croit bien le/la connaitre. Heureusement, la consolation à se constat est que l'on peut en apprendre beaucoup de chacun par la parole. Malgré ce que l'on peut penser du mot "vérité", il y a des moments qui nous marques, à tel point que l'on ne peut les cacher. Puis il y en a d'autres qui sont gravés dans les souvenirs de nos proches. Voici donc pourquoi je ne peux vous comter qu'un infime morceau de la vie de cette Damoiselle.
Lorsque Gaëlle O'Connor ouvrit ses émeuraudes, elle fit le plus grand bonheur d'un petit garçon de deux ans. Ce jour là, il se sentit invinsible. Il était devenu grand, car désormais, il avait une tâche que seul lui pouvait accomplir : être un bon grand frère. Des étoiles dans les yeux, il promit à ses parents de toujours veiller sur ce bébé, de le protèger autant qu'il le pourrait, et de lui apprendre "la vie d'un enfant" comme il disait. C'est ainsi que commença une solide relation fraternelle entre lui et sa petite soeur.
Malheureusement pour ce petit garçon bien enthousiaste, sa promesse fut plus difficile à tenir que prévu. En théorie, rien n'aurait dû lui compliquer la tâche, seulement, la fortune de ses parents en avait décidé autrement. Alors qu'il comptait sur son père et sa mère pour lui enseigner les ficelles du mot "responsabilité", il dût se débrouiller tout seul. Les réunions du personnel et les voyages d'affaires primaire avant lui. De plus, il s'averra que sa cadette était moins "contrôlable" qu'il le pensait. Curieuse, maligne, intelligente et silencieuse, elle échappa à la surveillance de son frère à multiples reprise. Souvent désenparé devant la disparition de sa blonde, le jeune garçon appelait ses grands-parents à la rescousse -faute de pouvoir joindre ses parents-.
C'est alors que le temps s'écoula, que les minutes passèrent et que les secondes fuièrent. Les enfants grandirent, devinrent adolescents puis indépendants. Comme dans beaucoup de famille polulaires et riches, les parents et les enfants vivent dans de monde bien distincts. Grâce à ce défaut des familles de haut rang, Gaëlle et son grand frère furent très vie liés comme les deux doigts de la mains. C'est vrai, pourquoi s'entêter à parler aux parents lorsque l'on peut se confier à son frère ou à sa soeur ? D'autant plus que c'était bien moins risqué. Ils vécurent comme cela durant pas de temps. Jusqu'à ce que la jolie blonde soit majeure, plus exactement. Après cela, ce ne fut plus pareil.
Tout d'abord, le seul parent de Monsieur mourrut d'une attaque à l'âge de 86 ans. Il léga à son fils toute sa fourtune et toute ses entreprises. La famille de Gaëlle dut donc déménager à New York, là où était le siège principal des nouvelles sociétés de son père. Ayant grandit à Paris, et bien que parlant l'anglais couramment, se fut un sacré changement pour la jeune fille. Mais en plus de cela, son grand frère resta en France pour faire son service militaire. « Peut importe les kilomètres qui nous séparent. Tu sera toujours ma petite soeur chérie, et je t'aimerai toujours à la folie. » Gaëlle se retrouva donc seule au milieu de cette ville inconnu. Elle se sentit abandonné, délaissé et trahis, bien que sa force de caractère la poussa à continuer. Elle s'incrit alors à la prestigieuse université de Fordham pour y étudier l'archéologie.
Au jour d'aujourd'hui, la famille O'Connor est sans doute l'une des familles les plus respectées de New York. Au yeux du monde, elle semble parfaite. Elle est renommée, recommandée, soutenue, ambitieuse et efficace. Pourtant, derrière les apparences, elle porte un lourd secret de la souffrance, dont chacun des membres détient une partie que l'autre ignore. C'est bien pour cela que notre héroïne s'en ait allé faire sa vie de son côté ; pour fuir se renommé, et en appendre plus sur l'individu en tant que tel, sur ses sentiments, ses passions, ses folies ainsi que sur ses pleures. Fascinnée depuis toute petite par l'âme humaine, Gaëlle trouvait le monde des new-yorkais très, divertissant. Mais une renommée ne s'efface pas en un claquement de doigts. Il faut faire attention à ce que l'on dit et à qui on le dit, car chaque mot qui sort de sa bouche pèse le poids d'une conséquence bonne ou mauvaise.
« Un ami, deux amis, dix amis... peu importe tant que c'est pour la vie. Mais il se pourrait bien, que finalement, les amis se comptent sur les doigts d'une seule main ! »
Behind the computer
Prénom: écrire iciÂge : écrire iciAvatar choisi : Ashley Olsen
Comment as-tu connu ce forum ? : Top Site
Ton avis (design, contexte, ...) : J'adore! ❤
Présence sur le forum : Que les week end,
car je suis en pension durant la semaine.
Autre(s) compte(s) : Non
Exemple de RP :
- Spoiler:
Connaissez-vous la "vie nocturne" ? Je penses que oui, quand même. Vous ne l'avez peut-être pas côtoyé ou vécu, mais vous en avez certainement déjà entendu parler. Personnellement, je la qualifierait en tant qu'envers du décor, de coulisses du spectacle, ou encore, d'une autre dimension, ou même d'un autre monde. Mais ça, c'est mon avis. Car chacun la perçoit différemment, en fonction de ses expériences bonnes ou mauvaises, de sa non-expérience, et à ce moment là, on ne peut se baser que sur le témoignage d'un autre, on est donc pas objectif. Contrairement à ce que certain pensent, ce n'est pas forcément mauvais, ou nul de vivre après le soleil. Mais on ne peut pas non plus affirmer que cela est bien, et agréable. Ça dépend encore une fois de l'individu, et de son vécu. Ne vous fiez jamais aux aprioris, aux rumeurs, et aux ragots, ça ne rapporte souvent que des problèmes, et ce n'est pas du tout objectif. Il faut essayer pour approuver, c'est bien connu!
Pour revenir à notre histoire, Loanna, elle, se fichait pas mal de l'avis de quelqu'un d'autre. Elle a toujours préféré tester par elle-même. Ça ne lui a pas rapporté que du bon, mais elle reste sur ces positions. La vie nocturne, elle adore ça. Elle la trouva magique, différente et agréable. Ce n'est pas le genre de fille qui court de boîte en boîte pour s'amuser, ou boire, ce n'est pas une droguée qui ne cherche que sa dose, et ce n'est pas une employée de la nuit. Non, la jeune femme n'est rien de tout cela. Elle ne vit pas la nuit, elle la côtoie, elle l'admire, elle regarde passer pendant des heures entières.
Il était vingt-deux heures. Dame Nature était d'humeur médiocre cette nuit là. Ainsi, une pluie torrentielle s'abattait sur New-York, engloutissant gaiement la Statue de la Liberté ; un vent magnifique retournait les parapluies, et trempait jusqu'aux os les habitants de la Terre ; et les plus mal chanceux tentaient vivement de rentrer chez eux. Avec toute cette eau, la pollution new-yorkaise était nettoyée, et l'air pur s'affirmait enfin. Malheureusement, même si de nombreuses étoiles brillaient de mille feu, on ne pouvait guère les voir, à moins de se prendre une bonne douche glacée.
D'ordinaire, Loanna se serait promenée sous la pluie, toute la nuit, avec une gigantesque sourire aux lèvres. (Pensez-vous que mon héroïne est folle ? Je vous affirme que non ! Écoutez plutôt la suite, au lieu de vous faire de fausses idées.) Pourtant, ce jour là, elle n'était pas dans son assiette. Elle se sentait bizarrement seule, et elle trouvait cela très étrange. Ça n'a jamais été dans ses habitudes de se plaindre de la solitude.
Avez-vous déjà connu ce sentiment ? Celui qui vous prend toute votre énergie, toutes vos envies, toute votre volonté, toute votre âme ! Celui qui vous fatigue, sans pour autant vous donner le sommeil. Celui qui vous noue la gorge. Celui qui vous force à vous questionnez sur le fait que vous êtes sur Terre, et pourquoi. Eh bien c'était ce que ressentait Loanna, et elle n'aimait pas du tout cet état. Jamais elle ne l'avait ressentit, sauf lorsque son grand-père quitta le domicile familiale. Mais ça c'est une autre histoire... Je disais donc que notre héroïne n'allait pas bien du tout. Elle était sortie comme à son habitude vers vingt heure, et avait errer dans les rues de New-York, avant de finalement entrer dans ce bar.
D'ailleurs il n'était pas aussi vide que l'on aurait pu le penser. Il était bientôt vingt-trois heure pile, et il y avait encore beaucoup de monde. Des gens qui travaillaient tard, et qui rentrait enfin chez leurs femmes. D'autres qui venaient justement boire un dernier café avant d'aller à leur boulot. Des jeunes aussi. En groupe. Ils prenaient un verre, se saoulaient, et parlaient fort. Leurs voix résonnaient dans la tête de notre jeune étudiante, qui aurait aimé avoir un peu de paix, plutôt que du bruit. Malheureusement, ça ne l'empêchait pas de broyer du noir. Pour le faire, il lui suffisait juste de planter ses yeux en amandes dans le noir de la nuit, d'observer tristement la vie nocturne, et de se laisser engloutir de pensées obscures.
Le mouvement battait son plein dehors, car New-York est une grande ville, qui comporte des habitants actifs 24/24. Pourtant ce n'est pas eux qu'Alexis fixait. La jeune israëlienne regardait le temps. Et oui. Allez savoir pourquoi ! Peut-être parce-que cette jeune fille aime la météo. Elle aime l'observer, comme pour percer ces secrets les plus intimes. Lorsqu'elle était petite, elle passait des heures devant la fenêtre quant il pleuvait. Des heures. Comme cette nuit, où l'étudiante retrouva ses cinq ans. Elle retrouva l'innocence, la crainte, et la fragilité d'une toute petite fille. C'est pour cela qu'elle ne voyait pas les minutes filer.
Il était bientôt minuit, et Loanna Hilly David était toujours là. Au fond du bar "The Friendship's Drink", affalée sur sa table avec un verre vide entre les doigts, ne portant qu'un simple jean, un pull en laine blanc par dessus un débardeur, et une paire de basket. Des vêtement peu adéquate pour un temps pareil. Et pourtant elle s'en fichait éperdument. Elle était totalement absorbée par les énormes nuages noirs qui s'entrechoquaient furieusement, la pluie qui martelait la célèbre ville, le tonnerre qui grondait de toutes ses forces, et les éclairs qui menaçaient d'électrocuté un humain à tout moment...
Code du règlement :
- Spoiler:
OK by Macky
Re: Enième presentation ~
Zoé Lou Shakespeare a écrit:
© mimi_fudjita Age: Date de naissance: Année d'étude: Formation en cours: J'appartiens au groupe des NOM DU GROUPE
UFR: UFR 1 UFR 2 UFR 3 UFR 4 UFR 5 UFR 6
UFR 7 UFR 8 UFR 9 UFR 10 UFR 11 AUCUN
" Mon âme a son secret, ma vie a son mystère. "
de M. C-Rieys
Signe(s) Particulier(s) Mise à part deux trous à l'oreille droite et trois trous à l'oreille gauche, la jolie blonde n'a pas de percings. Pour les tatouages, elle en a un seul fait à l'âge de seize ans. C'est une petite salamandre noir et bleu tatouée à l'intèrieur de son poignet gauche.Orientation Sexuelle Lorsqu'elle était plus jeune, la blondinette s'est parfois demandé ce que c'était de sortir avec fille. Si l'amour que l'on portait à une conjointe femme était le même que celui qui vous dévore pour un homme. Mais ce n'était que des questions de curiosité. Gaëlle est 100% hétéro, et bien qu'elle n'ai rien contre les bisexuels ou les homosexuels, elle revendique bien son avis sur la chose.
Prénom P. NOM
Physique & CaractèreApparence & Style: Lorsque ses grands yeux verts se posent sur votre personne, ils vous transpercent l'âme. Pourtant le regard qu'ils vous portent n'est doté que de curiosité et d'une pointe de douceur. Mais par reflexe, vous baisserez les yeux. C'est alors que vous remarquerez sa taille de guêpe, ses formes parfaites et son élégante silhouette. Le plus souvent, elle est habillée classe, ou avec des vêtements simples mais chics, car elle déteste être "mal sappée". Vous admirerez ensuite sa chevelure dorée délicatement posée sur ses épaules ; sa poitrine bien formée ; ses fines mains manucurées ; et ses jolies gambettes élancées. Cette jeune femme tout à fait charmante vous tapera dans l'oeil avec son allure de princesse et son visage aux traits fins. Vous serez séduit par son parfum si délicat, et sa voix si charmeuse. Mais alors que vous vous imaginerez dans un rêve, vous vous apercevrez à vos dépends que cette créature est belle et bien réelle et que l'apparence est trop souvent trompeuse.Caractère: Douce, attentionnée, agréable, pleine de vie, de joie et de bonne humeur, la jeune femme est vive et accueillante. Au premier abord, c'est quelqu'un de sociable, de travailleur et de sèrieux. Mais lorsqu'on la connait un peu mieux, on s'apperçoit vite que derrière sa grande maturité se cache un goût très prenoncé pour les folies, le désordre et l'éclat de rire. Elle est quelque peu possessive, d'une très grande fièrté et surtout, d'une curiosité intensive, ce qui est une qualité recommendé pour son métier futur. Mais cela lui vaut aussi pas mal de malus car elle fouine partout, et ne s'arrête pas lorsqu'il est préférable de laisser tomber. Avec cela, elle est peu bavarde, très attentive, et quelque peu maladroite. Elle aime les enfants, et est une grande passionnée de la faune et la flore.
Elle ne s'éternise jamais sur son vécu, ou sur ses sentiments. On l'aime, certain l'admire, pourtant lorsque l'on croit la connaitre vraiment, elle nous file entre les doigts. C'est un véritable mystère, car la jolie blonde ne dévoile qu'une infime partie d'elle-même au monde extèrieur. On ne voit donc d'elle, que ce qu'elle accepte de nous montrer. Mais malgré ses nombreux défauts, et ses secrets bien gardé, c'est une personne plus que généreuse et pleine de talents multiples.
L'histoireChaque individu -quel qu'il soit- porte en lui le secret de son existence composée de bonheur comme de malheur. On ne se dévoile jamais entièrement au monde qui nous entoure. Le sens du mot "vérité" change du tout au tout selon le message que veut faire passer le locuteur à son destinataire. On comte une histoire, on oublie des éléments, on ne se souvient pas, on ne raconte qu'une partie de la vérité, on cache des choses, on ment... Pour chaque personne, il y a une part du passé qu'il faudrait effacer ou encore supprimer de sa mémoire. Pourtant, ces instants sont bels et bien là, ils ont existé, et reste même au présent à jamais pour certain. On ne peut donc rétablir totalement le puzzle d'une existence, même si on croit bien le/la connaitre. Heureusement, la consolation à se constat est que l'on peut en apprendre beaucoup de chacun par la parole. Malgré ce que l'on peut penser du mot "vérité", il y a des moments qui nous marques, à tel point que l'on ne peut les cacher. Puis il y en a d'autres qui sont gravés dans les souvenirs de nos proches. Voici donc pourquoi je ne peux vous comter qu'un infime morceau de la vie de cette Damoiselle.
Lorsque Zoé Lou Shakespeare ouvrit ses émeuraudes, elle fit le plus grand bonheur d'un petit garçon de deux ans. Ce jour là, il se sentit invinsible. Il était devenu grand, car désormais, il avait une tâche que seul lui pouvait accomplir : être un bon grand frère. Des étoiles dans les yeux, il promit à ses parents de toujours veiller sur ce bébé, de le protèger autant qu'il le pourrait, et de lui apprendre "la vie d'un enfant" comme il disait. C'est ainsi que commença une solide relation fraternelle entre lui et sa petite soeur.
Malheureusement pour ce petit garçon bien enthousiaste, sa promesse fut plus difficile à tenir que prévu. En théorie, rien n'aurait dû lui compliquer la tâche, seulement, la fortune de ses parents en avait décidé autrement. Alors qu'il comptait sur son père et sa mère pour lui enseigner les ficelles du mot "responsabilité", il dût se débrouiller tout seul. Les réunions du personnel et les voyages d'affaires primaire avant lui. De plus, il s'averra que sa cadette était moins "contrôlable" qu'il le pensait. Curieuse, maligne, intelligente et silencieuse, elle échappa à la surveillance de son frère à multiples reprise. Souvent désenparé devant la disparition de sa blonde, le jeune garçon appelait ses grands-parents à la rescousse -faute de pouvoir joindre ses parents-.
C'est alors que le temps s'écoula, que les minutes passèrent et que les secondes fuièrent. Les enfants grandirent, devinrent adolescents puis indépendants. Comme dans beaucoup de famille polulaires et riches, les parents et les enfants vivent dans de monde bien distincts. Grâce à ce défaut des familles de haut rang, Zoé et son grand frère furent très vie liés comme les deux doigts de la mains. C'est vrai, pourquoi s'entêter à parler aux parents lorsque l'on peut se confier à son frère ou à sa soeur ? D'autant plus que c'était bien moins risqué. Ils vécurent comme cela durant pas de temps. Jusqu'à ce que la jolie blonde soit majeure, plus exactement. Après cela, ce ne fut plus pareil.
Tout d'abord, le seul parent de Monsieur mourrut d'une attaque à l'âge de 86 ans. Il léga à son fils toute sa fourtune et toute ses entreprises. La famille de Zoé dut donc déménager à New York, là où était le siège principal des nouvelles sociétés de son père. Ayant grandit à Paris, et bien que parlant l'anglais couramment, se fut un sacré changement pour la jeune fille. Mais en plus de cela, son grand frère resta en France pour faire son service militaire. « Peut importe les kilomètres qui nous séparent. Tu sera toujours ma petite soeur chérie, et je t'aimerai toujours à la folie. » Zoé se retrouva donc seule au milieu de cette ville inconnu. Elle se sentit abandonné, délaissé et trahis, bien que sa force de caractère la poussa à continuer. Elle s'incrit alors à la prestigieuse université de Fordham pour y étudier l'archéologie.
Au jour d'aujourd'hui, la famille Shakespeare est sans doute l'une des familles les plus respectées de New York. Au yeux du monde, elle semble parfaite. Elle est renommée, recommandée, soutenue, ambitieuse et efficace. Pourtant, derrière les apparences, elle porte un lourd secret de la souffrance, dont chacun des membres détient une partie que l'autre ignore. C'est bien pour cela que notre héroïne s'en ait allé faire sa vie de son côté il y a de cela trois ans déjà ; pour fuir se renommé, et en appendre plus sur l'individu en tant que tel, sur ses sentiments, ses passions, ses folies ainsi que sur ses pleures. Fascinnée depuis toute petite par l'âme humaine, Zoé trouva le monde des new-yorkais très, divertissant. Mais une renommée ne s'efface pas en un claquement de doigts. Il faut faire attention à ce que l'on dit et à qui on le dit, car chaque mot qui sort de sa bouche pèse le poids d'une conséquence bonne ou mauvaise.
« Un ami, deux amis, dix amis... peu importe tant que c'est pour la vie. Mais il se pourrait bien, que finalement, les amis se comptent sur les doigts d'une seule main ! »
Behind the computer
Prénom: écrire iciÂge : écrire iciAvatar choisi : Ashley Olsen
Comment as-tu connu ce forum ? : Top Site
Ton avis (design, contexte, ...) : J'adore! ❤
Présence sur le forum : 5j/7j environ, mais ça peut être plus comme ça peut être moins.
Autre(s) compte(s) : Non
Exemple de RP :
- Spoiler:
Connaissez-vous la "vie nocturne" ? Je penses que oui, quand même. Vous ne l'avez peut-être pas côtoyé ou vécu, mais vous en avez certainement déjà entendu parler. Personnellement, je la qualifierait en tant qu'envers du décor, de coulisses du spectacle, ou encore, d'une autre dimension, ou même d'un autre monde. Mais ça, c'est mon avis. Car chacun la perçoit différemment, en fonction de ses expériences bonnes ou mauvaises, de sa non-expérience, et à ce moment là, on ne peut se baser que sur le témoignage d'un autre, on est donc pas objectif. Contrairement à ce que certain pensent, ce n'est pas forcément mauvais, ou nul de vivre après le soleil. Mais on ne peut pas non plus affirmer que cela est bien, et agréable. Ça dépend encore une fois de l'individu, et de son vécu. Ne vous fiez jamais aux aprioris, aux rumeurs, et aux ragots, ça ne rapporte souvent que des problèmes, et ce n'est pas du tout objectif. Il faut essayer pour approuver, c'est bien connu!
Pour revenir à notre histoire, Loanna, elle, se fichait pas mal de l'avis de quelqu'un d'autre. Elle a toujours préféré tester par elle-même. Ça ne lui a pas rapporté que du bon, mais elle reste sur ces positions. La vie nocturne, elle adore ça. Elle la trouva magique, différente et agréable. Ce n'est pas le genre de fille qui court de boîte en boîte pour s'amuser, ou boire, ce n'est pas une droguée qui ne cherche que sa dose, et ce n'est pas une employée de la nuit. Non, la jeune femme n'est rien de tout cela. Elle ne vit pas la nuit, elle la côtoie, elle l'admire, elle regarde passer pendant des heures entières.
Il était vingt-deux heures. Dame Nature était d'humeur médiocre cette nuit là. Ainsi, une pluie torrentielle s'abattait sur New-York, engloutissant gaiement la Statue de la Liberté ; un vent magnifique retournait les parapluies, et trempait jusqu'aux os les habitants de la Terre ; et les plus mal chanceux tentaient vivement de rentrer chez eux. Avec toute cette eau, la pollution new-yorkaise était nettoyée, et l'air pur s'affirmait enfin. Malheureusement, même si de nombreuses étoiles brillaient de mille feu, on ne pouvait guère les voir, à moins de se prendre une bonne douche glacée.
D'ordinaire, Loanna se serait promenée sous la pluie, toute la nuit, avec une gigantesque sourire aux lèvres. (Pensez-vous que mon héroïne est folle ? Je vous affirme que non ! Écoutez plutôt la suite, au lieu de vous faire de fausses idées.) Pourtant, ce jour là, elle n'était pas dans son assiette. Elle se sentait bizarrement seule, et elle trouvait cela très étrange. Ça n'a jamais été dans ses habitudes de se plaindre de la solitude.
Avez-vous déjà connu ce sentiment ? Celui qui vous prend toute votre énergie, toutes vos envies, toute votre volonté, toute votre âme ! Celui qui vous fatigue, sans pour autant vous donner le sommeil. Celui qui vous noue la gorge. Celui qui vous force à vous questionnez sur le fait que vous êtes sur Terre, et pourquoi. Eh bien c'était ce que ressentait Loanna, et elle n'aimait pas du tout cet état. Jamais elle ne l'avait ressentit, sauf lorsque son grand-père quitta le domicile familiale. Mais ça c'est une autre histoire... Je disais donc que notre héroïne n'allait pas bien du tout. Elle était sortie comme à son habitude vers vingt heure, et avait errer dans les rues de New-York, avant de finalement entrer dans ce bar.
D'ailleurs il n'était pas aussi vide que l'on aurait pu le penser. Il était bientôt vingt-trois heure pile, et il y avait encore beaucoup de monde. Des gens qui travaillaient tard, et qui rentrait enfin chez leurs femmes. D'autres qui venaient justement boire un dernier café avant d'aller à leur boulot. Des jeunes aussi. En groupe. Ils prenaient un verre, se saoulaient, et parlaient fort. Leurs voix résonnaient dans la tête de notre jeune étudiante, qui aurait aimé avoir un peu de paix, plutôt que du bruit. Malheureusement, ça ne l'empêchait pas de broyer du noir. Pour le faire, il lui suffisait juste de planter ses yeux en amandes dans le noir de la nuit, d'observer tristement la vie nocturne, et de se laisser engloutir de pensées obscures.
Le mouvement battait son plein dehors, car New-York est une grande ville, qui comporte des habitants actifs 24/24. Pourtant ce n'est pas eux qu'Alexis fixait. La jeune israëlienne regardait le temps. Et oui. Allez savoir pourquoi ! Peut-être parce-que cette jeune fille aime la météo. Elle aime l'observer, comme pour percer ces secrets les plus intimes. Lorsqu'elle était petite, elle passait des heures devant la fenêtre quant il pleuvait. Des heures. Comme cette nuit, où l'étudiante retrouva ses cinq ans. Elle retrouva l'innocence, la crainte, et la fragilité d'une toute petite fille. C'est pour cela qu'elle ne voyait pas les minutes filer.
Il était bientôt minuit, et Loanna Hilly David était toujours là. Au fond du bar "The Friendship's Drink", affalée sur sa table avec un verre vide entre les doigts, ne portant qu'un simple jean, un pull en laine blanc par dessus un débardeur, et une paire de basket. Des vêtement peu adéquate pour un temps pareil. Et pourtant elle s'en fichait éperdument. Elle était totalement absorbée par les énormes nuages noirs qui s'entrechoquaient furieusement, la pluie qui martelait la célèbre ville, le tonnerre qui grondait de toutes ses forces, et les éclairs qui menaçaient d'électrocuté un humain à tout moment...
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