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C.K.A. ~ Copine Kakaotée Anormale

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Message  Admin Lun 6 Juil - 8:42

Identité

Nom : Adriell
Prénom : Chloé Kaley
Surnom ou diminutif : Coco
Lieu de naissance : Paris 17ème (elle vient de loin !)
Date de naissance : le 21 novembre 1990
Âge : 18 depuis 2 ans.

Profil

Caractère : On a toujours dit à Chloé qu'elle ressemblait beaucoup à son père. Elle adore les animaux, et arrive facilement à communiquer avec eux. Elle est plutôt garçon manqué, et est du genre à évité le "trop" de monde. Sa qualité principale, c'est sa fidélité. Quoi qu'il puisse se passer, elle tiendra toujours ses promesses, et ne laissera jamais ses "amis "dans le besoin. Par contre, elle s'énerve très vite, et est plutôt brutale, (en gros, il ne faux pas la chercher). Elle se fiche pas mal de l'esthétique, et fais très attention à ce qu'on peut avoir à l'intérieur. Elle n'a jamais été très sociale, mais n'est pas méchante. Elle c'est vraiment refermée quand sa "seule amie" a déménagé. Depuis, elle ne préfère pas s'attacher au gens, de peur d'être encore blessé. Elle est digne de confiance, mais ne donne la sienne à personne. Sauf à son frère avec qui elle partageait tout, (malheureusement, elle ne l'a pas vu depuis deux ans). Elle ne se considère pas comme un dieu, mais pense que ses capacités sont larges, et va souvent vouloir faire plus. Elle essaiera toujours de dépasser ses limites... Quoi qui lui en coûte. Ses parents lui ont, d'ailleurs, souvent reproché de ne pas faire assez attention à elle-même, car après tout, " elle n'est qu'une humaine !".
Manies : Elle cache son poignet gauche. (là où il y a sa cicatrice)
Phobies Recroiser l'humaine qu'elle a mordu, car elle ne sait pas si cette dernière est vivante ou pas.
Amour : Vu qu'elle n'aime pas vraiment le contact avec les autres, elle n'est jamais sortit avec un garçon.
Nature : Vampire Pacifiste vivant seul (avec sa famille humaine)
Don (Facultatif) : Elle peut contrôler les gens par la pensée. Elle ne les lit pas comme Edward, elle les contrôle juste.
Liens : {Avec d'autres personnages}
• Emily Youki : Elle l'a mordu, mais a été chassée avant d'en avoir fini. Elle ne sait pas si elle est vivante ou pas.
• Son frère : C'est lui qui l'a transformé, et l'un des buts de Chloé est de le retrouver, où qu'il soit sur la petite planète terre. Elle ne doute pas une seule seconde qu'il est toujours en vie.
Apparence Physique : En fait, je suis assez grande, (1m70), j’ai de « beaux » yeux bleu, et un « mignon » petit nez. Je suis ne suis pas peu fière de mes cheveux. Ils sont long, bruns, et font de grosses boucles, parfois. Je les soigne couramment, et j’en prends très soin car je les adore!
Pour ce qui est de mon corps, je n’en ais pas honte, mais je ne l’aime beaucoup, (même si mon frère disait qu’il était parfait). Je l’entretiens un peu avec une corde à sauter, et quelques cours d’éducation physique. Mais, il est en bonne santé et est un excellent nageur ! Sinon, je n’ais pas vraiment de style de « fringues » particulier. Je ne suis pas la mode, je n’aime pas ça, je me contente de prendre ce que j’ai dans ma commode et je fait un mixe à ma façon.
Pour ce qui est du maquillage, je n’en mets que rarement, pour des occasions. Par contre le vernis, j’en ais une bonne centaine de toutes les couleurs, et j’en mets tout le temps !


Histoire

At First {Tout d'abord}:
J'ouvris mes grands yeux bleu un certain mardi 21 novembre 1990, dans une petite clinique insignifiante du 17è arrondissement de Paris. L'accouchement se passa bien, et fut assez rapide, car je n'étais pas le premier enfant de ma mère.
Ma mère, Hélène Adriell. Une jeune femme douce aux longs cheveux bruns et aux grands yeux verts émerveillés devant le petit bout que j'étais. Elle n'en avait pas l'air, mais elle avait un fort caractère. Celui-ci l'aidait à dénicher des scoops aux quatre coins du monde pour son journal.
Elle était mariée à un monsieur répondant au nom de Benoît. Ce jeune athlète aux yeux bleus était tombé éperdument amoureux de la journaliste qui l'avait interviewé. Dès leur deuxième rencontres, ils s'étaient découverts plusieurs points communs et avaient, par la suite, fait des projets d'avenir.
Ils voyageaient beaucoup à cause de leurs emplois respectifs et la tendance n'avait pas changé depuis l'arrivée de leurs enfants.
Peu après ma naissance, je fis la connaissance de mon frère. Cet être exceptionnellement affectueux à mon égard avait toujours été là pour moi.
Tout ce petit monde habitait alors à Paris, près des quais de la Seine. Bien vite pourtant, nous dûmes déménager, car ma mère devait faire un reportage à New-York.
Malgré tout nos déplacements, je vivais une vie sereine, entourée de gens qui m'aimaient.
A six ans, on m'envoya à l'école ; à ce moment là, nous vivions en Suisse pour un contrat de mon père. Ce grand établissement refermant autant de monde ne me plaisait pas du tout. Je n'eus pas vraiment d'amis durant ma scolarité, jusqu'en troisième (que je fis dans le Lycée anglophone de Tokyo), où une jeune fille vint m'aborder. Elle non plus n'était pas très sociable, et elle avait pensé que, peut-être, nos deux caractères s'accorderaient bien. Malheureusement, en fin de seconde (j'étais toujours à Tokyo), ses parents divorcèrent, ce qui ensuivit un déménagement, et je n'eus plus jamais de nouvelles.
Etant née en France, j'en ai gardé les coutumes ; aussi mon entrée 'officielle' dans le monde des grands devait se faire à mes 18 ans. Ce fut alors qu'un évènement majeur dans ma vie survint.


Transformation - Mutation :
Cette soirée me revient en mémoire tous les ans, pendant les fêtes de Noël. A vrai dire, c’est normal. C’était lors du réveillon de Noël, alors que j'avais 18 ans, que j’ai été mordue, et que j’ai compris pourquoi mon cher frère se comportait bizarrement depuis quelques temps.
Cette année là, nous étions alors au Québec, et mes parents avaient invité toute la famille et les amis, les oncles, les tantes, les cousins de toutes sortes, les grands-parents, les amis, etc.… Je devenais majeure tout de même !
On avait sortit le grand jeu, chandelles, nappes, décoration, gigantesque sapin, et tout le « tralala ». On s’était donc tous mit sur nos trente et un. Je me souviens même des habits que je portais, une longue robe rouge sang choisie par mon frère.
Je me souviens aussi que les invités étaient arrivés autour de vingt heures, s’étaient installés dans la salle de réception, et avaient commencé à danser, manger, et discuter. Puis, je me souviens que tout marchait comme prévu, jusqu’au moment où mon frère m’appela du fond du jardin.
Cela faisait pas mal de temps qu’il se comportait de façon étrange, je m’y étais accommodé, mais ce soir là, il transpirait, tournait sur lui-même comme un lion dans une cage, et semblait plus affolé que d’habitude.
Quand je l’ais rejoint, il n’avait vraiment pas l’air d’aller bien. Je me souviens m’être inquiétée de son état et lui avoir frôlé bras. Il m’avait alors jeté par terre avec une force incroyable. Cela m’avais surprise.
Mais après cet instant là, tout c’est passé tellement vite que j’ai toujours eut du mal à me souvenir. Tout ne m'est pas vraiment revenu.
Le peu qui me reste en mémoire, c’est mon frère me sautant dessus, alors que j’étais tombée, m’agrippant le poignet gauche et enfonçant ses dents le plus profondément qu’il le put dans ma chaire. Sur le coup, j’ai hurlé !
(Mal) heureusement, nous étions trop loin de la maison pour que l’on puisse m’entendre.
Lorsqu'il me lâcha l’avant bras, je cru que j’allais mourir. Ma vue devint floue, mes oreilles se mirent à siffler, ma tête fut compressée, l'oxygène me manqua, et une indéfinissable douleur parcouru tous mes membres.
Je ressentais comme un liquide qui passait dans mes veines, un liquide tellement froid qu’il me brulait l’intérieur, un liquide mortel qui produit un tel mal, qu’on ne peut lui résister. Moi-même j’y ais succombé. Et après quelque secondes, j’ai perdu connaissance et me suis réveillée deux jours après, deux jours durant lesquels un feu brulait en moi, me transformant sans que je le sache, en quelque chose auquel je ne croyais même pas auparavant, dans ma chambre, avec une cicatrice bleuâtre immonde sur mon poignet gauche.
Une cicatrice que je n’oublierais jamais car elle a été laissé par mon propre frère.


To Finish {Pour finir} :
Suite à la morsure de mon frère, une autre vie prit possession de mon corps. Une vie que je ne compris pas tout de suite. Une vie qui me fit souffrir avant de me laisser le temps de l’apprivoiser. Une vie étrange et hors du commun. Une vie que je commence à peine à apprécier. Une vie qui ma transformée dans tous les sens du terme…
Jamais je n’oublierai les premiers pas fait avec elle. Ceux-ci furent accomplit dans ma chambre, lorsque je repris connaissance. Je ne savais plus où j'étais, ma tête tournais, et mon poignet me brûlais atrocement. Je me souviens à peine de ce qui s'est passé à ce moment là. Il y avait une voix qui prononçais mon nom, peut-être celle de ma mère, elle était recouverte d'un sifflement assourdissant. Et puis, il y avait aussi cette odeur douceâtre qui montait à mes narines, et qui, dès lors, ne m'a presque jamais quitté. Sinon, les souvenirs précis ne me reviennent qu'après quelques jours, et ils ne sont pas très agréables. Mais, en réalité, ce n'est pas pour moi que ça a été le plus difficile. C'est pour mes parents. Eux ne savaient pas ce qui c'était passé, ni pourquoi, ni comment. Pourtant, ils voyaient bien que leur fille avait changé, et que leur fils ne s'était pas enfui sans raisons valables. Plusieurs fois ma mère, ou mon père, m'avait supplié de lui faire des confidences, mais je ne pouvais pas, car je ne comprenais pas moi même.
Ma vue était devenue perçante, précise, vive en couleur et en teintes que je ne distinguais pas auparavant. Je percevais chaque murmure, chaque mouvement. Les plus silencieux de mes compagnons de vie ne pouvait plus faire une chose sans que je ne m'en aperçoive. Ma voix était devenue brillante, musicale. Mon odorat était surdéveloppé, mais je pouvais aussi me passer de respirer, ce qui était bien utile en certaines occasions. Mon touché aussi avait évolué. Chaque chose que je prenais dans mes mains avait une signature propre, une texture particulière.
Je découvris bien vite que mon cœur ne battait plus ; ce fut et c'est toujours l'une des choses que je regrette le plus de la vie humaine. Ma peau était devenue aussi blanche et dure que le marbre, et avait aussi acquis la température de cette pierre : j'étais glaciale en tout instant, ne souffrait plus de la température extérieure. Mes parents eurent beaucoup de mal à s'y faire, croyant d'abord que j'étais malade, puis se souvenant que leur fils avait montré les mêmes symptômes un peu avant sa fugue, et qu'il avait survécu tout de même. Ils ne me posèrent plus de questions. Le soir qui suivit mon réveil, je ne réussis à m'endormir, phénomène qui se répéta plusieurs jours de suite. Tous les jours. Pourtant, je ne ressentais pas le besoin de sommeil. Mes yeux étaient devenus rouges, ils effrayaient ma mère, et tournait au noir lorsque j'étais affamée.
Affamée de sang.
De sang humain.
Mon premier réflexe aurait put être de sauter sur mes parents. Mais le peu d'humanité qu'il me restait me poussa à m'enfermer dans ma chambre, où je découvris mon extraordinaire force : je pouvais détruire chaque meuble d'un simple coup. Plusieurs jours passèrent, et mon envie de sang se renforçait. Paniquée par ce que je pouvais faire, je décidais de chercher des médicaments contre cette horrible envie. Lors d'une nuit, je m'assis devant mon ordinateur, et commençai à fouiller dans le web des informations parallèles à mon comportement. Régulièrement revenait un mot qui me semblait absurde, jusqu'à ce que je me résoudre à lui donner une quelque importance.
Vampire.
Etait-ce possible que je sois un Vampire? une créature imaginaire, non existante, dangereuse, terrifiante!
Je ne pouvais pas le croire. Et je ne le crus pas, jusqu'à ce que mon père soit appelé à Forks pour présenter son métier dans la petite école de cette petite bourgade.
Jusqu'à ce jour, j'avais réussi à me nourrir d'animaux uniquement. Mais, durant cette soirée là, je ne pus faire abstraction de mon envie meurtrière.
Mes parents dormant à l'hôtel, je décidais de m'aventurer dans le dédale de ruelles qu'était Forks. J'y rencontrais une demoiselle à l'odeur alléchante. Frêle et insouciante, elle se promenait seule. Un frisson me traversa. Je fus saisie d'un puissant besoin de mordre. J'essayais de ne pas y céder, mais peu à peu, mon instinct de prédateur prit le dessus sur mon humanité. Sans vraiment m'en rendre compte, je me jetais sur ma proie.
Je la sentais trembler dans mes mains, je percevais le rythme des battements de son cœur accélérer. Il était naturel d'y prendre plaisir. Automatiquement, je me penchais sur son poignet, et y enfonçait mes crocs. Lorsque le sang entra en contact avec mes papilles gustatives, deux mots me vinrent à l'esprit. "Merveilleux" et "vampirique".
Vampire.
Encore.
Tout à coup, une énorme chose se jeta sur moi, m'écartant violemment de ma proie. Dans la pénombre, je ne pus distinguer ni le visage de mon repas, ni celui de son protecteur. Sous le choc de ce qui venait de se passer, je me relevai en une fraction de seconde, et m'enfuis.
Depuis ce jour, je ne me nourris que de sang animal, regrettant par moment là saveur du sang humain ; à d'autres moments, je regrette d'en connaitre le gout.
Par la suite, les déménagements habituels s'enchainaient dans ce qui était ma routine. Nous fîmes Miami (contrat de ma mère), Paris (contrat de ma mère encore), Berlin (contrat de mon père, qui remporta une médaille d'argent à une petite compétition), Londres (vacances générales), Rome (contrat de ma mère pour la mort du pape), Sydney (contrat de mon père), Casablanca (sans ma mère qui était en Chine), Dakar (où ma mère nous rejoint), et encore quelques autres endroits, avant de réaterrir dans l'état pluvieux de Washington, direction : Forks.
Mon pire cauchemar se réalisait.
Nous nous installâmes dans la petite bourgade au ciel éternellement gris, et pour mon plus grand malheur, ma mère décida de se poser pour une durée indéterminée. Nous achetâmes une maisonnette à Port Angeles, où ma mère trouva un poste de rédactrice fixe pour la journal local ; mon père devint professeur de sport.
Dès mon premier jour d'école, je reconnus son odeur...

Hors-Jeu

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