Charlie Rose Davis - NYCL 28.12.2014
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Charlie Rose Davis - NYCL 28.12.2014
Sa plus grande mimique est ce petit plissement de nez inconscient lorsqu'elle ment, qui la démasque tout de suite. Ou cette manie de se faire craquer les doigts lorsqu'elle est contrariée, ce qui à le don de l'agacer de plus bel. Sinon Charlie est une personne pleine d'humour, émotive et protectrice qui aime le genre humain. Bien qu'elle se montre souvent sur la défensive, c'est d'abord son manque de confiance en elle qui fait obstacle dans ses relations avec les autres. Mais lorsqu'elle se sent à l'aise, elle libère une joie de vivre et un optimisme contagieux. |
Alors que le froid de l'hiver commençait à mordre la population new-yorkaise, Time-Square s'agitait de plus bel. Les boutiques et les boulevards regorgeaient de monde, telles des fourmilières géantes. Un climat festif et enthousiaste régnait sur toute la grand pomme à l'arrivée des fêtes de fins d'années. Alors que certain s'affolaient à faire leurs derniers achats, d'autres se précipitaient chez eux pour commencer les préparatifs. Des décors magiques arborant d'immenses sapins et de multiples guirlandes illuminaient les rues et les habitations. Noël approchait, et un esprit de générosité et de pardon s'installait dans les foyer, tandis que les familles se rassemblaient dans les demeures.
Sur le bord de son lit, les yeux baignés de larmes, une jeune femme tenait entre ses mains une photo. Sur celle-ci, on pouvait voir dans son lit d'hôpital, une femme au regard doux et chaleureux berçant délicatement un nouveau-né. A côté d'elle une homme charismatique, en costard, portait dans ses bras une charmante petite fille qui n'avait d'yeux que pour le bébé. Leurs sourires étaient radieux, et bien que figée, l'image renvoyait toute la joie et l'amour qui régnait dans la petite famille. Alors qu'un lourd silence envahissait l'atmosphère de la pièce, une vieille homme pénétra la chambre et vint s'asseoir aux côtés de la demoiselle. Son regard se posa sur le cadre qu'elle serrait entre ses doigts, et la voix pleine d'émotions, il dit tendrement : « Ton père était tellement heureux ce jour là, qu'il bégayait lorsqu'il m'a appelé pour nous annoncer la bonne nouvelle. Il était si ému et si fier. ». La jolie brune essuya ses pleures d'un revers de manche, puis renifla avant de murmurer d'un ton désespéré : « Pourquoi grand-père? Pourquoi ? ». La question resta en suspend durant une seconde qui parut une éternité, puis le vieille homme ne répondit le cœur brisé : « Je ne sais pas Charlie... »
***
Il était une fois deux avocats renommés qui travaillaient en Angleterre. Le premier, Benjamin George Davis, descendant d'une noble famille anglaise et richissime héritier ; le second, Adélaïde Baxter, fondatrice du célèbre cabiné d'avocats B&Co.. originaire de Poenix en Arizona. Ils tombèrent amoureux à la suite d'un procès commun qu'ils menèrent avec fougue l'un contre l'autre. Après deux ans d'amour passionné, ils se marièrent à Paris un jeudi 6 août, malgré le refus de Monsieur et Madame Davis. Ces derniers ne pouvant accepter que leur fils épouse une femme aux racines sociale aussi modeste. Neuf mois après cette union, une petite fille nommée Héléna vit le jour en plein cœur de Londres pour la plus grande joie de ses parents. Charlie vint au monde huit ans plus tard à la grande surprise générale. Alors que leurs carrières étaient au sommet, et que le couple ne pensaient plus à « pouponner ». Les deux enfants furent élevées avec bonté et amour, et ne manquèrent de rien. École privée, activités extra-scolaires, appartement luxueux, voyages. Elles grandirent dans un climat de chaleureux, où leurs parents leurs apprirent à avoir de l'ambition et de la persévérance.
Le soir du 23 décembre, Héléna et Charlie débordaient d'énergie à l'approche de Noël. Leur nourrisse, une mexicaine d'une cinquantaine d'année qui travaillait pour les Davis depuis toujours, décida de focaliser leur attention sur leur Disney préféré : Le Roi Lion. Dehors, la nuit était aussi noir que de l'encre et rappelait à tous que l'hiver s'était installé. Après quelques temps, des flocons de neiges commencèrent à tomber perçant l'obscurité, et provoquant l'euphorie des enfants avant l'heure du coucher. Tout à coup, le téléphone retentit dans le grand appartement. Maria décrocha le combiner avec précipitation tout en faisant signe aux filles de se taire :
- Allô ?
- Bonsoir Madame, ici les urgences du Charing Cross Hospital, suis-je bien au domicile de Monsieur et Madame Davis ?
- Oui, mais ils ne sont pas là pour le moment. Je garde leurs filles durant leur absence. Je peux passer un message ?
- Madame, je suis vraiment désolée de vous annoncer cette terrible nouvelle. Monsieur et Madame Davis ont eu un accident, leur voiture est sortie de la route et a percutée un arbre. Ils sont mort sur le coup.
- Maria c'est qui ? Si c'est maman, tu lui dis qu'ils se dépêchent de rentrer hein ! J'aime pas dormir quand ils ne sont pas là...
Désemparée, la nourrice lâcha le combiner de téléphone et fixa le regard noisette de la fillette de huit ans avec effroi. Le désarroi lui nouait la gorge, ne laissant aucun son sortir de sa bouche.
***
Chaque année, en cette période de fêtes et de bonheur, le même souvenir insupportable jaillissait dans la mémoire de Charlie. Cela faisait exactement quinze ans, pourtant la tristesse des évènements lui pénétrait les entrailles tout aussi douloureusement qu'au premier jour. Elle avait l'impression que le manque dû à la perte de ses parents grandissait peu à peu, la rongeant de l'intérieur. Tel un couteau qui la transperçait de part en part à répétition, et pour le restant de sa vie. Ce soir là, le temps s'était comme arrêter. Le drame avait été si violent pour la petite fille, que sa mémoire effaça tout ce qui y succéda.
Par la suite, Charlie et Héléna, âgée alors de quinze ans, furent confiées aux bons soins de leurs grands-parents maternelles, et arrivèrent à New York peu après l'accident. Elles durent alors recommencer une nouvelle vie et faire leur deuil, loin de tout ceux qu'elles connaissaient. Malgré les évènements, Héléna réussit à reprendre ses études. Ainsi la jeune adolescente retrouva un semblant d'équilibre qui l'aida peu à peu à se reconstruire. A la fin de son apprentissage universitaire, elle ouvrit sa propre boulangerie-pâtisserie et se maria avec un jeune avocat nommé Scott. Sa cadette par ailleurs, eu beaucoup plus de difficultés à retrouver ses repères. Elle se renferma sur elle-même, et mena rudement la vie de ses grands-parents. Elle quitta le cursus scolaire après sa deuxième année d'université, et fut « embaucher » à l'épicerie de son grand-père, qui préféra lui donner une occupation saine. Tous deux étaient devenus particulièrement proches au file des année. Le vieille homme réussit à instaurer un climat de confiance par sa douceur et son optimisme, avec la jeune femme. Tantôt sage, tantôt original, il laissa le temps panser les blessures de sa petite fille sans jamais la laisser tomber. Jusqu'au jour où il annonça à Charlie la vente de l'épicerie familiale à un certain Caleb Lee-Clark, propriétaire du restaurant vegan dans la même rue. Furieuse, la cadette Davis refusa d'accepter qu'on lui retire tout ce à quoi elle se raccrochait. A ses yeux, tout son équilibre s'écroulait. Et même si son grand-père lui avait assuré qu'elle deviendrait malgré tout co-gérante de la nouvelle épicerie, la brunette était bien décidé à faire entendre son mécontentement.
Sur le bord de son lit, les yeux baignés de larmes, une jeune femme tenait entre ses mains une photo. Sur celle-ci, on pouvait voir dans son lit d'hôpital, une femme au regard doux et chaleureux berçant délicatement un nouveau-né. A côté d'elle une homme charismatique, en costard, portait dans ses bras une charmante petite fille qui n'avait d'yeux que pour le bébé. Leurs sourires étaient radieux, et bien que figée, l'image renvoyait toute la joie et l'amour qui régnait dans la petite famille. Alors qu'un lourd silence envahissait l'atmosphère de la pièce, une vieille homme pénétra la chambre et vint s'asseoir aux côtés de la demoiselle. Son regard se posa sur le cadre qu'elle serrait entre ses doigts, et la voix pleine d'émotions, il dit tendrement : « Ton père était tellement heureux ce jour là, qu'il bégayait lorsqu'il m'a appelé pour nous annoncer la bonne nouvelle. Il était si ému et si fier. ». La jolie brune essuya ses pleures d'un revers de manche, puis renifla avant de murmurer d'un ton désespéré : « Pourquoi grand-père? Pourquoi ? ». La question resta en suspend durant une seconde qui parut une éternité, puis le vieille homme ne répondit le cœur brisé : « Je ne sais pas Charlie... »
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Il était une fois deux avocats renommés qui travaillaient en Angleterre. Le premier, Benjamin George Davis, descendant d'une noble famille anglaise et richissime héritier ; le second, Adélaïde Baxter, fondatrice du célèbre cabiné d'avocats B&Co.. originaire de Poenix en Arizona. Ils tombèrent amoureux à la suite d'un procès commun qu'ils menèrent avec fougue l'un contre l'autre. Après deux ans d'amour passionné, ils se marièrent à Paris un jeudi 6 août, malgré le refus de Monsieur et Madame Davis. Ces derniers ne pouvant accepter que leur fils épouse une femme aux racines sociale aussi modeste. Neuf mois après cette union, une petite fille nommée Héléna vit le jour en plein cœur de Londres pour la plus grande joie de ses parents. Charlie vint au monde huit ans plus tard à la grande surprise générale. Alors que leurs carrières étaient au sommet, et que le couple ne pensaient plus à « pouponner ». Les deux enfants furent élevées avec bonté et amour, et ne manquèrent de rien. École privée, activités extra-scolaires, appartement luxueux, voyages. Elles grandirent dans un climat de chaleureux, où leurs parents leurs apprirent à avoir de l'ambition et de la persévérance.
Le soir du 23 décembre, Héléna et Charlie débordaient d'énergie à l'approche de Noël. Leur nourrisse, une mexicaine d'une cinquantaine d'année qui travaillait pour les Davis depuis toujours, décida de focaliser leur attention sur leur Disney préféré : Le Roi Lion. Dehors, la nuit était aussi noir que de l'encre et rappelait à tous que l'hiver s'était installé. Après quelques temps, des flocons de neiges commencèrent à tomber perçant l'obscurité, et provoquant l'euphorie des enfants avant l'heure du coucher. Tout à coup, le téléphone retentit dans le grand appartement. Maria décrocha le combiner avec précipitation tout en faisant signe aux filles de se taire :
- Allô ?
- Bonsoir Madame, ici les urgences du Charing Cross Hospital, suis-je bien au domicile de Monsieur et Madame Davis ?
- Oui, mais ils ne sont pas là pour le moment. Je garde leurs filles durant leur absence. Je peux passer un message ?
- Madame, je suis vraiment désolée de vous annoncer cette terrible nouvelle. Monsieur et Madame Davis ont eu un accident, leur voiture est sortie de la route et a percutée un arbre. Ils sont mort sur le coup.
- Maria c'est qui ? Si c'est maman, tu lui dis qu'ils se dépêchent de rentrer hein ! J'aime pas dormir quand ils ne sont pas là...
Désemparée, la nourrice lâcha le combiner de téléphone et fixa le regard noisette de la fillette de huit ans avec effroi. Le désarroi lui nouait la gorge, ne laissant aucun son sortir de sa bouche.
***
Chaque année, en cette période de fêtes et de bonheur, le même souvenir insupportable jaillissait dans la mémoire de Charlie. Cela faisait exactement quinze ans, pourtant la tristesse des évènements lui pénétrait les entrailles tout aussi douloureusement qu'au premier jour. Elle avait l'impression que le manque dû à la perte de ses parents grandissait peu à peu, la rongeant de l'intérieur. Tel un couteau qui la transperçait de part en part à répétition, et pour le restant de sa vie. Ce soir là, le temps s'était comme arrêter. Le drame avait été si violent pour la petite fille, que sa mémoire effaça tout ce qui y succéda.
Par la suite, Charlie et Héléna, âgée alors de quinze ans, furent confiées aux bons soins de leurs grands-parents maternelles, et arrivèrent à New York peu après l'accident. Elles durent alors recommencer une nouvelle vie et faire leur deuil, loin de tout ceux qu'elles connaissaient. Malgré les évènements, Héléna réussit à reprendre ses études. Ainsi la jeune adolescente retrouva un semblant d'équilibre qui l'aida peu à peu à se reconstruire. A la fin de son apprentissage universitaire, elle ouvrit sa propre boulangerie-pâtisserie et se maria avec un jeune avocat nommé Scott. Sa cadette par ailleurs, eu beaucoup plus de difficultés à retrouver ses repères. Elle se renferma sur elle-même, et mena rudement la vie de ses grands-parents. Elle quitta le cursus scolaire après sa deuxième année d'université, et fut « embaucher » à l'épicerie de son grand-père, qui préféra lui donner une occupation saine. Tous deux étaient devenus particulièrement proches au file des année. Le vieille homme réussit à instaurer un climat de confiance par sa douceur et son optimisme, avec la jeune femme. Tantôt sage, tantôt original, il laissa le temps panser les blessures de sa petite fille sans jamais la laisser tomber. Jusqu'au jour où il annonça à Charlie la vente de l'épicerie familiale à un certain Caleb Lee-Clark, propriétaire du restaurant vegan dans la même rue. Furieuse, la cadette Davis refusa d'accepter qu'on lui retire tout ce à quoi elle se raccrochait. A ses yeux, tout son équilibre s'écroulait. Et même si son grand-père lui avait assuré qu'elle deviendrait malgré tout co-gérante de la nouvelle épicerie, la brunette était bien décidé à faire entendre son mécontentement.
- Mon exemple de RolePlay:
- Neuf élèves sur dix avouent avoir dormit -ne serait-ce qu'une seule fois- en cours. Le dixième ment.
Le ciel était gris, sans aucun dégradé. Les nuages formaient une tâche uniforme comme si l'on avait déposé un couvercle sur New York. Pas un brin de vent, pas l'ombre d'un orange, pas même une gouttes de pluie. Juste un temps chaud, humide, et lourd. L'atmosphère était irrespirable, les habitants de la ville avaient du mal à garder leur calme. Ils se pressaient dans les rues, se bousculaient, s'injuriaient, cherchant désespérément un petit souffle d'air. Alors que les piétons étaient d'une humeur massacrante, les automobilistes eux, klaxonnaient criaient, rageaient, pour faire avancer les bouchons. Malheureusement pour tous, la météo n'annonçait pas d'averse avant au moins deux jours.
Les cours de la matinée furent aussi durs pour les professeurs que pour les étudiants. Malgré le fait que toutes les fenêtres des classes soient ouvertes, la transpiration et le ras-le-bol empuantaient les salles. Impossible de se concentrer ! Impossible de travailler par de telles conditions ! Les plus courageux tendaient l'oreille, un stylo à la main, un éventail de l'autre, tandis que les autres s'affalèrent sur leur table et dormirent. Pourtant, lorsque la cloche résonna pour annoncer la pause déjeuner, c'est à l'unisson que les universitaires se précipitèrent en dehors des bâtiments de l'Université de New York. Certain prirent le chemin du réfectoire, d'autres s'installèrent sur les pelouses du campus avec leur repas, tandis que d'autres encore, sortir au centre ville pour s'acheter de quoi se remplir la panse.
Un grec ? Un chinois ? Une salade ? Un mcdo ?
Soit trop indigeste, soit pas assez contenant pour son estomac, aucun de ses restaurants ne tentaient Zoé. Elle avait faim certes, mais elle ne mangerait pas pour autant n'importe quoi. La blondinette préférant être seule que mal accompagnée, elle avait décidé de manger hors de l'université et de faire sa fine bouche. Mais elle le regretta bientôt amèrement. Elle qui avait horreur de la foule, elle s'y trouva mêlée -elle ne sut comment- et dû suivre le moment pour éviter de tomber. Autour d'elle, les gens traçaient leur chemin sans se préoccuper des autres. Tous regardaient devant eux, et marchaient d'un pas rapide comme des robots, pour rejoindre on-ne-sait quelle destination. La jeune femme se fit écraser les pieds à multiples reprises, tirer les cheveux, poussée sur la route, collée contre d'autres passants, et trimballée sur une bonne partie de l'avenue. Au début, elle fut déboussolée et ne réagis pas. Mais au faire et à mesure que la foule s'entre-choquait à ses dépends, une colère et une lassitude immense montèrent en elle. Après dix minutes, elle se stoppa net et décida d'entrée dans la première boutique qui se présentait à elle. Prise d'un élan de rage, Zoé traversa le mur vivant qui lui barrait la route, en criant haut et fort : « EXCUSEZ-VOUS ! » Les new-yorkais ouvrirent de grands yeux, car le cri agacé de la la blondinette sortie de sa bouche en français, et bien qu'il était d'une tout autre langue, le ton qui l'accompagnait fut universel.
Le visage en feu, la demoiselle pénétra dans la boutique. Une bouffer d'air fraîche lui refroidit les joues de suite, lui redonnant la moitié de son calme. Elle poussa un énorme soupir, s'accouda à un comptoir en imitation marbre, et posa son sac à ses pieds. C'est seulement à ce moment là que l'étudiante regarda où elle était vraiment. Tentée de couleurs chaudes, la pizzeria « The Pizza Shack » était plutôt accueillante. Les sièges étaient de petits canapés rouges, les tables de bois vernis, tandis que sur les murs blanc crème différents tableaux et posters étaient affichés. * Va pour une pizza alors. * pensa Zoé. L'endroit ne lui parut point désagréable, et son ventre commençait à réclamer avec cette délicieuse odeur qui embaumait toute la principale. Elle commanda donc une Napolitaine de taille moyenne à une charmante serveuse, et s'installa près d'une fenêtre dans le fond du restaurant. Elle déposa son sac à main, croisa les jambes et sortie ses cours pour l'après-midi. Vêtu d'une paire de spartiate, d'un short court et d'une simple chemise, elle n'avait pas trop chaud à l'extérieur, mais se sentait largement moins oppressée avec la clime.
Pendant qu'elle patientait en ''relisant'' ses cours, Zoé releva la tête à plusieurs reprises. Elle aperçut alors un jeune homme assit juste en face d'elle, deux tables plus loin. Il avait environ son âge, noir de peau et plutôt agréable à regarder. Il avait sur son visage, une étrange expression que Zoé ne pu décrire. Mais, il avait quelque chose de différent, ça se fut certain, un petit truc en plus qui lui donnait l'air d'un enfant perdu. Ce dernier ne prêtait guère attention à la blondinette, mais fixait un groupe d'étudiant qui discutait de l'autre côté de la rue. Il paraissait si, absorbé par la scène qui se déroulait devant ses grands yeux, qu'il ne remarqua même pas la serveuse qui déposait une pizza au kebab sur sa table. Zoé ne put s'empêcher de rire doucement de ce doux rêveur.
Encore un qui se fera bouffer par la vie... pensa t-elle à voix haute en lui souriant toujours..
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